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15 juillet, 2018

Espagne : gouvernement socialiste contre écoles privées sous contrat

Isabel Celaá, ministre socialiste et pasionaria de la laïcité.


En Espagne : le gouvernement socialiste commence son offensive contre les écoles privées sous contrat, le principe de “demande sociale” menacé de suppression en attendant l'abolition des contrats eux-mêmes…


A lire ci-dessous sur reinformation.tv :


Espagne : gouvernement socialiste contre écoles privées sous contrat


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Visites scolaires à la mosquée avec une prière islamique aux Pays-Bas : le rapport de “Cultuur onder Vuur”





“A genoux devant l’islam” : les visites scolaires à la mosquée culminent souvent avec une prière aux Pays-Bas. Un rapport explosif de Cultuur onder vuur, une campagne de Civitas Christiana…

A découvrir ici sur reinformation.tv .


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04 janvier, 2015

“La vie de vos enfants vaut ce vaut votre vie de prière pour eux.”

Un texte à méditer en cette fin de période de vacances, à l'heure où les enfants retournent à l'école… Trouvé au hasard d'une recherche sur internet, il porte la signature de l'abbé Roger Pallais et encourage les parents à « éduquer dans la foi ». Avec l'efficacité que donne la prière.

C'est à lire ici (attention, il s'agit d'un document, il vous faudra donc le télécharger).

Addendum : problème avec le lien. Celui-ci fonctionne, il faut ensuite cliquer sur Eduquer dans la foi.

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08 décembre, 2014

ONU : des leaders pro-famille de 39 pays demandent une protection pour la “famille naturelle”

Le vendredi 5 décembre, 200 leaders politiques, chercheurs, intellectuels et responsables sociaux représentant 39 pays du monde se sont réunis au siège de l’ONU à New York pour présenter au Secrétaire général Ban Ki-moon un manifeste demandant une protection institutionnelle pour la famille naturelle. Ils ont en même temps mis en avant la « violation systématique » des droits des pères, des mères et de la famille au niveau mondial, parlant de l’urgence de mettre en œuvre des politiques publiques et des législations au niveau des Etats.
Le manifeste qu’ils ont solennellement signé vendredi dit l’urgence d’intégrer dans les « Objectifs du millénaire » de l’ONU le renforcement et la protection de la famille naturelle, composée par un père, une mère et leurs enfants.
C’est à l’occasion du XXe anniversaire de l’Année internationale de la famille que s’est tenu le Sommet transatlantique des représentants politiques et sociaux. Il a voulu mettre en évidence l’absence de toute protection de la famille parmi les objectifs du programme de « développement durable » après 2015.
Les responsables ont remis à Ban Ki-moon une « Déclaration des droits de la famille » à faire respecter au niveau international : « La famille, basée sur le mariage entre un homme et une femme, est l’unité naturelle et fondamentale de la société qui mérite protection de la part de la société et de l’Etat », en tant notamment que premier moteur du développement économique et social durable dans le monde entier, affirme-t-elle.
Cette déclaration dénonce les « tentatives délibérées de dévaluer la famille, institution sociale par excellence, en particulier celles dirigées contre la nature authentique du mariage, les valeurs de fidélité et de solidarité de l’amour conjugal, et contre le respect du droit à la vie ». Elle met aussi en évidence les dégâts causés par le non respect des droits et de l’intégrité de la famille.
Rappelant que la famille est la seule communauté, au service du « bien commun », « conçue spécialement pour donner la vie, éduquer les enfants et pour protéger et prendre soin de ses membres les plus vulnérables », cette déclaration affirme l’inquiétude des signataires devant le fait « que la base même des droits humains soit délibérément distordue pour favoriser l’avancée d’intérêt personnels et idéologiques particuliers ».
Les signataires s’engagent, selon leurs responsabilités propres, à promulguer des lois favorables aux droits de la famille, à faire de ces droits des « priorités ».
Liste partielle des signataires

Zoltán Balog, ministre des ressources humaines et membre de l’Assemblée nationale de Hongrie ;
Jaime Mayor Oreja, membre du Parlement européen et ancien ministre des Affaires intérieures, Espagne ;
Jan Figel, vice-président du Conseil national de la République de Slovaquie ;
Katalin Novák, secrétaire d’Etat des ressources humaines pour le bien-être et l’inclusion sociale, Hongrie ;
Laima Andrikiene, membre du Parlement européen pour la Lituanie ;
György Hölvényi, membre du Parlement européen ;
Gergely Prőhle, sous-secrétaire d’Etat pour les affaires internationales et des Etats-Unis de Hongrie ;
Lynda Rose, Royaume-Uni ;
Robert Harris, Coordinateur conjoint du groupe famille et protaction des enfants de la Chambre des communes, Royaume-Uni ;
Cyril Svoboda, membre du Parlement, République Tchèque ;
Carina Joao Oliveira, membre du Parlement, Portugal ;
Lidia Bulcão, membre du Parlement, Portugal ;
Antonio Proa, membre du Parlement, Portugal ;
Javier Puente, membre du Parlement, Espagne ;
Luis Peral, membre du Sénat, Espagne ;
José María Alonso, membre du Parlement, Espagne ;
Margarita Durán, sénatrice d’Espagne ;
Rocío López González, membre du Parlement, Espagne.

Et en outre :
José Ignacio Echániz, ministre de la santé du gouvernement de Castilla-La Mancha ;
Lourdes Méndez Monasterio, membre du Parlement, Espagne ;
Liliana Negre, sénatrice d’Argentin ;
Luis Fernando Torres, membre du Parlement d’Equateur ;
Julio Rosas, membre du Parlement, Perou ;
José Darío Salazar, membre du Sénat, Colombie ;
Mariano Gervan, membre du Parlement d’Argentine ;
João Heliofar de Jesús Villar, procureur fédéral du Brasil ;
Les parlementaires mexicains Orlando Anaya, Raquel Jiménez, Luis Treviño Cabello, Alfredo Botello, Lucía Pérez, Fernando Rodríguez Doval, Lisbeth Lecona, Tanya Morgan, Carolina Garza, Kalyope Rodríguez, ainsi que les sénateurs Martha Palafox, José María Martínez y Daniel Ávila Ruiz.
Ilva Myriam Hoyos, procureur fédéral pour les droits des enfants et des familles, Colombie;
Martha Chávez, José Urquizo, et Martín Rivas Teixeira, membres du Parlement, Pérou ;
Steve King, représentant du district de l’Iowa ;
Chrisantus Wamalwa Wakhungu y Francis Njenga, membre du Parlement du Kenya, entre autres.

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03 octobre, 2014

Lettre ouverte au synode : soutenez le mariage, soutenez les enfants

Lettre ouverte au synode sur le véritable soutien à la famille
Une cinquantaine de personnalités attachées à la défense du mariage et de la famille ont publié une lettre ouverte à l’approche de l’ouverture du synode extraordinaire sur la famille à Rome, dimanche. Je vous propose ici la traduction de ce document important, réalisé par des experts catholiques ou non, tous d’accord cependant sur le chemin à prendre pour le bien de cette institution indispensable à toute société humaine.
On notera, parmi de nombreux signataires connus ou moins connus, la présence de Mary Ann Glendon, l’envoyée du pape Jean-Paul II à la Conférence de Pékin pour y contrer, déjà, l’idéologie du genre (ici, la conférence d’Yves Daoudal qui l’évoque) – J.S.
Le texte original de la lettre est ici.
Très Saint Père, Eminences, Excellences,
Nous nous réjouissons de ce que le Saint-Père ait capté l’attention du monde entier, suscitant tant de bienveillance à l’égard de la foi chrétienne ! Comme beaucoup nous sommes profondément émus par ses expressions d’amour et de miséricorde, qui se font l’écho de l’amour et de la miséricorde du Christ, spécialement à l’égard de ceux qui sont sans défense et abandonnés.
C’est dans ce contexte que nous accueillons avec enthousiasme la décision de réunir un synode extraordinaire d’évêques pour examiner les défis auxquels sont confrontés le mariage et la famille. Comme chacun de vous, nous croyons que la famille, à l’instar de l’Eglise elle-même, la plus grande manifestation institutionnelle de l’amour du Christ. Pour ceux qui veulent aimer comme Il veut que nous aimions, le mariage et la famille sont indispensables, à la fois comme moyens de rédemption et comme remparts de la société humaine.
Les derniers papes ont souligné cela de la manière la plus claire. Par exemple, le pape Benoît XVI a écrit que « le mariage est véritablement un instrument de rédemption, non seulement pour ceux qui sont mariés mais pour la société tout entière ». Et dans Evangelii Gaudium, Votre Sainteté avez écrit que « l’indispensable contribution du mariage à la société transcende les sentiments et les besoins momentanés du couple ».
Ce synode est une occasion d’exprimer les vérités intemporelles du mariage. Pourquoi ces vérités sont-elles importantes ? Comment représentent-elles l’« amour véritable », et non « l’exclusion », le « préjugé » ou toutes les autres accusations aujourd’hui portées contre le mariage ? Les hommes et les femmes ont désespérément besoin d’entendre la vérité sur la raison pour laquelle ils doivent d’emblée décider de se marier. Et une fois mariés, pourquoi le Christ et l’Eglise désirent qu’ils restent fidèles l’un à l’autre tout au long de leur vie sur cette terre. Que, lorsque le mariage devient difficile – comme c’est le cas pour la plupart des couples – l’Eglise sera source de soutien, non seulement pour chaque époux pris individuellement, mais pour le mariage lui-même.
Vous avez écrit de manière si puissante, Saint Père, à propos de l’importance d’une nouvelle évangélisation au sein de l’Eglise : « Une communauté qui évangélise s’implique par la parole et par le geste dans la vie quotidienne des gens ; elle jette des ponts entre les points éloignés, elle est prête à s’abaisser si nécessaire et elle embrasse la vie humaine, touchant la chair souffrante du Christ dans le prochain. »
Permettez-nous de suggérer humblement que dans le contexte du mariage et de la famille, vos paroles sont un appel à la responsabilité personnelle, non seulement pour nos propres époux et enfants, mais pour les mariages de ceux que Dieu a placés à nos côtés : nos parents et amis, ceux qui sont dans nos églises et dans nos écoles.
Les enjeux sont importants. Selon un rapport international de Child Trends en 2013 : « Des augmentations dramatiques de la cohabitation, du divorce, et des naissances hors mariage dans les Amériques, en Europe et en Océanie ces dernières quatre décennies laissent penser que l’institution du mariage a beaucoup moins d’importance dans ces parties du monde. » Aux Etats-Unis, le taux de nuptialité est le plus bas jamais enregistré, la cohabitation non maritale devient rapidement une alternative acceptable par rapport au mariage, et plus de la moitié des naissances chez les femmes de moins de 30 ans se produisent aujourd’hui hors mariage. Parmi les innombrables effets négatifs de ces tendances, chacune d’entre elles a été corrélée à moins de valeur nette et de mobilité économique, à la pauvreté, et aux aides sociales – particulièrement pour les femmes et les enfants.
Parmi les mariages existants, il en est beaucoup qui sont fragiles ou tendus. Entre 40 et 50 % de tous les premiers mariages aux Etats-Unis sont considérés comme devant se terminer par un divorce. Ce taux augmente rapidement à chaque remariage et la recherche suggère que la raison n’en est pas une faible qualité du mariage, mais le défaut d’engagement.
Les conséquences du divorce et du concubinage pour les enfants et les adultes sont nombreuses et diverses : depuis la pauvreté et un moindre niveau d’études jusqu’à une moins bonne santé ; d’un engagement marital plus déficient à l’âge adulte à la mortalité plus précoce. Et tandis que chaque nation est unique, les études montrent que ces tendances se retrouvent sur l’ensemble du globe. Un petit échantillon de ces études : Chine, Finlande, Suède, Uruguay, Mexique, GrèceAfrique, and Les nations du Pacifique et de l’Asie orientale
Le prix à payer pour la diffusion de la pornographie dans les sociétés est significatif. Les études d’impact de la pornographie sur les relations de couple suggèrent qu’il s’agit là d’un facteur majeur de destruction des mariages. Malheureusement, la recherche sur le long terme des effets de la pornographie sur les mariages sont pour ainsi dire inexistantes.
Ce qu’on appelle le « divorce sans faute » aux Etats-Unis et dans beaucoup d’autres nations a donné naissance à un système où les juges et les avocats facilitent la dissolution des mariages, souvent contre la volonté d’époux qui restent fermes dans leur engagement matrimonial.
Malgré les perspectives maussades dessinées par ces tendances, nous sommes encouragés et affermis par l’exhortation du Saint-Père : « Les défis existent pour être surmontés ! Soyons des réalistes, mais sans perdre notre joie, notre audace et  notre engagement plein d’espérance. »
Peut-être la manière la plus audacieuse d’évangéliser les couples mariés (et par extension les futurs mariages de leurs enfants) est-elle de construire de petites communautés de couples mariés qui se soutiennent mutuellement et sans conditions dans leur vocation à la vie conjugale. Ces communautés apporteraient des réseaux de soutien fondés sur les liens de la foi et de la famille, l’engagement en faveur du mariage pour la vie, et la responsabilité de l’un envers l’autre et pour l’autre.
Voici quelques moyens pratiques de créer et de soutenir de telles communautés :
• Donner mission au Conseil pontifical pour la famille d’engager des recherches inter-disciplinaires, longitudinales sur le rôle de la pornographie et du divorce « sans faute » dans la crise du mariage. 
• Eduquer les séminaristes. Fournir des cours obligatoires incluant les données sociologiques sur les bienfaits du mariage, les menaces sur le mariage, et les conséquences du divorce et du concubinage pour les enfants et pour la société. 
• Apprendre aux prêtres à mettre en évidence dans leurs homélies la valeur spirituelle et sociale du mariage, les défis contemporains auquel il est confronté, et l’aide paroissiale aux mariages en difficulté. Une étude récente a montré que pour 72 % des femmes américaines, l’homélie hebdomadaire est leur source principale pour connaître la foi. 
• Créer des réseaux petits mais actifs de couples mariés solides comme mentors au niveau paroissial, qui soient disponibles pour donner aux époux les outils nécessaires pour un mariage sain et pour la vie. 
• Eduquer les paroissiens afin qu’ils connaissent l’extraordinaire influence qu’ils peuvent avoir sur les mariages de leurs amis et de leur famille. Les données de la sociologie montrent que la présence d’amis et de parents divorcés fait grandir le risque du divorce pour soi. A l’inverse, ces données ont suggéré que les membres de la famille et les amis peuvent augmenter le niveau d'engagement et de satisfaction du mariage de ceux qu’ils aiment grâce à leur exemple et à leur soutien. 
• Encourager et aider à la réconciliation des couples mariés qui se sont séparés ou qui ont obtenu un divorce devant les tribunaux civils. 
• Demander aux évêques du monde entier de mettre en place des prières régulières à l’occasion de la messe du dimanche pour demander des mariages solides et fidèles. 
• Soutenir les efforts pour préserver ce qu’il y a de bon et de juste dans les lois existantes du mariage, s’opposer à tous les changements dans ces lois qui affaibliraient davantage l’institution, et de restaurer les dispositions légales qui protègent le mariage en tant qu’union conjugale d’un homme et d’une femme, qui y entrent en étant ouverts au don des enfants, et qui soit vécu fidèlement et se manière permanente comme fondement de la famille naturelle. 
• Soutenir la liberté religieuse devant les tribunaux de divorce. Un grand nombre de personnes ignore que la liberté religieuse est fréquemment violée par les juges du divorce qui laissent de côté ou méprisent le point de vue de l’époux qui cherche à sauver son mariage, maintenir ses enfants dans une école confessionnelle, ou empêcher l’époux parti d’exposer les enfants à un partenaire sexuel non marié. Mettre en place un consortium d’avocats et de législateurs de manière à combattre ce problème.
L’accomplissement de n’importe lequel de ces buts à l’échelle internationale serait un grand pas en avant pour les mariages et pour les familles. Les accomplir tous pourrait renverser totalement la crise mondiale du mariage.
Grâce à votre conduite, nous aiderons les mariages à réussir et à fleurir en donnant la plus grande valeur à l’engagement matrimonial – à tous les niveaux de la société, dans tous les coins du monde. Nous remercions Votre Sainteté, Vos Eminences et Excellences de vous charger de cette tâche vitale ; vous pouvez être assurés de nos prières pour son grand succès.
Greg and Julie Alexander
Fondateurs, The Alexander House Apostolate, Texas
Ryan T. Anderson
William E. Simon Membre de Religion and a Free Society, The Heritage Foundation, Washington, DC
Erika Bachiochi, Esq., juriste et écrivain, Massachusetts
Monsignor Renzo Bonetti, fondateur et président, Fondazione Famiglia Dono Grande, Italy 
Gerard Bradley, professeur de droit, University of Notre Dame Law School
Ana María Celis Brunet, Professeur de Droit, Pontificia Universidad Católica de Chile
Mary Eberstadt, Senior Fellow, Ethics and Public Policy Center, Washington, DC
Jason and Crystalina Evert, fondateurs, Chastity Project, Colorado 
Patrick Fagan, directeur, The Marriage and Religion Research Institute, Family Research Council, Washington, DC
Thomas Farr, professeur et directeur associé, The Religious Freedom Project, Georgetown University
Silvio Ferrari, professeur de droit, Université de Milan, Italy
Richard Fitzgibbons, directeur, The Institute for Marital Healing, Pennsylvania
Juan G. Navarro Floria, professeur, Pontificia Universidad Católica Argentina
Matthew Franck, William E. and Carol G. Simon Center on Religion and the Constitution, The Witherspoon Institute, New Jersey
Robert P. George, professeur McCormick de Jurisprudence, Princeton University
Mary Ann Glendon, professeur de droit Learned Hand, Harvard University
Bruce and Jeannie Hannemann, co-Directeurs, co-fondateurs RECLAiM Sexual Health, Elizabeth Ministry International
George A. Harne, président, The College of Saint Mary Magdalen
Mary Hasson,  Fellow, Catholic Studies Program, Ethics and Public Policy Center, Washington DC
Alan J. Hawkins, professeur de vie familiale, Brigham Young University
Kent R. Hill, International Development leader, Washington DC
Byron Johnson, Distinguished Professor of the Social Sciences and Director, Institute for Studies of Religion, Baylor University
Thomas Lickona, directeur, Center for the 4th and 5th Rs (Respect and Responsibility) State University of New York at Cortland
John McCarthy, doyen, School of Philosophy, The Catholic University of America
Rocco Mimmo, Chairman, Ambrose Centre for Religious Liberty, Sydney, Australia
Gloria M. Moran, professeur de droit, chaire de Droit, religion et politique, University of La Coruña Spain.
Jennifer Roback Morse, présidente, Ruth Institute, California
Melissa Moschella, professeur assistant de philosophie, The Catholic University of America
Rafael Navarro-Valls, professeur émérite de droit, université Complutense, Espagne, secrétaire général de l’Académie royale de jurisprudence et de législation 
Rafael Palomino, professeur de droit, université Complutense, Espagne
Marcello Pera, ancien président du Sénat italin, professeur à l’université pontificale du Latran, Rome
Vicente Prieto, Universidad de La Sabana, Bogotá, Colombia
P. Juan Puigbó, diocèse d’Arlington, Virginie
David Quinn, directeur, The Iona Institute, Ireland
Mark Regnerus, professeur associé de sociologie, University of Texas, Austin
Balázs Schanda, professeur de droit, université catholique Pázmány Péter, Hongrie 
Alan E. Sears, président, directeur exécutif, Alliance Defending Freedom
Reverend Charles Sikorsky, président, The Institute for the Psychological Sciences, Virginia
O. Carter Snead, professeur de droit, directeur William P. and Hazel B. White, Center for Ethics and Culture, University of Notre Dame
Reverend D. Paul Sullins, professeur de sociologie, The Catholic University of America Senior Fellow for Family Studies, Family Research Council
President, The Leo Institute, Washington, DC
Rebecca Ryskind Teti, Center for Family Development, Our Lady of Bethesda
Mervyn Thomas, Chief Executive, Christian Solidarity Worldwide, United Kingdom
Javier Martinez-Torron, professeur de droit, chaire du département de droit et de religion, Complutense
Hilary Towers, psychologue, Manassas, Virginia
D. Vincent Twomey, professeur émérite de théologie morale, Pontifical University, Maynooth, Ireland
Paul C. Vitz, Senior Scholar and Professor, The Institute for the Psychological Sciences, Virginia
Rick Warren, fondateur et pasteur, Saddleback Church, Lake Forest, California
Robert Wilken, professeur émérite William R. Kenan, Jr. d’histoire du christianisme, University of Virginia



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27 septembre, 2014

France : le congé parental des mères réduit à 18 mois ?

J’ai eu sans le savoir le nez creux en publiant ici hier mon article sur la loi « égalité femmes hommes » écrit au moment du vote de la loi, en juillet dernier. La nouvelle est tombée il y a quelques minutes : dans le cadre du plan d’économies de 50 milliards d’euros, le gouvernement envisagerait de réduire de le congé parental qui serait désormais limité à 18 mois pour la mère, contre 3 ans avant le vote de la loi.
Ce congé de trois ans est proposé à partir du deuxième enfant et rencontre un succès qui dérange : il coûte cher, et en outre il perpétue l’idée que les femmes sont contentes de rester à la maison, affreux passéisme.
La loi d’égalité prévoyait que la totalité du congé ne pouvait être pris qu’au cas où le père – pardon, « l’autre parent » – en prendrait six mois. C’était déjà une négation du rôle spécifique de la mère auprès des très jeunes enfants, mais comme après tout il y a maintenant des « familles » avec « deux papas », tout cela était cohérent. Avec l’idéologie du genre surtout.
Mais il faut l’être encore davantage. Selon Le Parisien, c’est au nom du « principe d’égalité » que le gouvernement fera lundi l’annonce de ce nouveau pas vers l’« égalité réelle ».
Personne n’est dupe : si la volonté idéologique du gouvernement Valls ne fait aucun doute, le motif premier est économique. Tout le monde sait bien que dans la vraie vie, les pères ne sont pas nombreux à vouloir ou à pouvoir interrompre leur activité professionnelle pour s’occuper de la maison et des enfants. L’hypocrisie est là : le gouvernement table sur les « stéréotypes de genre » pour anticiper un marge désintérêt des pères pour ces 18 mois de congé qui leurs seraient généreusement offerts – avec 300 à 400 millions d’euros économisés sur la « branche famille ».

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26 septembre, 2014

La loi d'égalité femmes hommes de Najat Vallaud-Belkacem

La loi sur « l'égalité réelle entre les femmes et les hommes » a été votée cette été à la toute fin de la session parlementaire, pour être promulguée symboliquement le 4 août. Le fait qu'elle a été peu commentée, la nomination de celle qui l'a portée, Najat Vallaud-Belkacem, comme ministre de l'éducation nationale, et la gravité de ce texte m'ont incité à vouloir publier ici l'article que j'avais écrit fin juillet pour Monde & Vie, je le fais avec l'aimable autorisation de Jean-Marie Molitor, directeur de cette revue catholique. Le site est ici et pour s'abonner, c'est par  (il y a des offres spéciales pour les nouveaux abonnés). 

Pour le parlement,  l’égalité « femmes-hommes » passe par l’avortement et le genre


Le gouvernement a profité de l’été pour faire passer la « loi pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes », adoptée définitivement le 23 juillet, aux derniers jours de la session parlementaire extraordinaire. Face à ce texte à forte saveur idéologique, et qui va jusqu’à faire de l’IVG un droit que n’« excuse » même plus la « détresse », il ne se sera trouvé aucun député pour voter contre. Vacances ?

*

Aucun vote contre la loi d’égalité « femmes-hommes » – attention à ces mots, l’ordre est celui du texte ! –, voilà ce que l’on retiendra d’abord d’un projet adopté à marches forcées parce qu’il joue un rôle majeur dans l’entreprise de révolution sociétale engagée par François Hollande et ses gouvernements successifs depuis l’arrivée des socialistes au pouvoir.

Il n’a donc pas rencontré d’opposition sérieuse. Quelques députés UMP l’ont même voté ; les autres – ceux qui étaient présents en cette fin de mois de juillet – se sont abstenus. Et Gilbert Collard, Marion Maréchal Le Pen, Jacques Bompard ? Sans doute n’étaient-ils pas là. Qu’auraient changé trois voix con­tre, pourraient-ils observer. Ce n’aurait été effectivement que pour l’honneur…

Ce vote doublé d’une abstention quasi consensuelle en dit long sur le terrorisme intellectuel qui régit ces questions. On ne vote pas « contre » l’égalité. C’est impossible. Cela fait de vous d’emblée un contre-révolutionnaire. Egalité, que de crimes on commet en ton nom !

Le crime est bien là, oui. Il est au cœur de la loi et dans l’entière logique de la loi : au nom de l’égalité, celle-ci vise à faciliter l’accès à l’avortement.

L’IVG, un droit

L’article 24 du texte définitif le dit de manière laconique : « A la première phrase de l’article L. 2 212-1 du même code (de la santé publique), les mots : “que son état place dans une situation de détresse” sont remplacés par les mots : “qui ne veut pas poursuivre une grossesse”. »
La « justification » de l’avortement disparaît : justification de façade, certes, destinée à faire accepter l’inacceptable au nom de la compassion, mais enfin c’était une limite. Une manière de dire que l’« IVG » est une sorte de moindre mal, de solution ultime dans une situation de grande souffrance ou de misère. Solution facile, aussi, puisque dès lors qu’il y a détresse, pourquoi ne pas en chercher la cause et proposer une aide ?
En faisant disparaître la notion de détresse, il ne reste plus que la volonté de la femme. Elle, et elle seule, exerce droit de vie et de mort sur l’enfant qu’elle porte. Légalement, l’avortement achève de devenir un droit.
Il l’était déjà dans les faits ; il l’était largement sur le plan juridique. Jamais l’obligation posée dans la loi Giscard-Chirac-Veil de proposer une aide aux femmes dans un entretien préalable en vue de les encourager à garder leur enfant n’a été respectée ; jamais le financement de centres d’accueil aux futures mères n’a été pris en charge par l’Etat.
Et aux fil des révisions, depuis la loi Neiertz et les lois Aubry (ci-dessus)  jusqu’à la décision de rembourser l’avortement à 100 % prise à Pâques 2013, le caractère intouchable de l’« IVG » s’est précisé. Le délit d’entrave est né : l’avortement est le seul acte chirurgical qui bénéficie d’une telle protection. L’obligation d’entretien préalable a disparu en 2001 – elle était le corollaire de la justification de l’avortement par la « détresse ». La publicité pour l’avortement n’est plus un délit… Et les pressions « morales et psychologiques » pour convaincre une femme de ne pas avorter ont elles aussi été classées parmi les délits.

Non-droit de savoir

La loi d’égalité « femmes-hommes » va encore plus loin. Elle élargit le délit d’entrave au fait d’empêcher une femme de « s’informer » sur l’avortement – une information sur son droit à l’avortement – et ce simple fait est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.
Tout cela a été voté pour « assurer aux femmes la maîtrise de leur sexualité, notamment par l’accès à la contraception et à l’interruption volontaire de grossesse ».

Cela est parfaitement, abominablement cohérent : comment arriver à la « parité », à « l’égalité réelle » si la femme voit sa vie embarrassée par l’arrivée d’une grossesse ou, « pire », celle d’un enfant qu’elle va devoir aimer toute sa vie ?

L’UMP, par la voix d’André Reichardt, a an­noncé la saisine du Conseil constitutionnel sur la disparition du mot « détresse ». Une disparition symbolique, mais lourde de sens. Que l’élu UMP ose in­voquer ici le « principe du respect de tout être humain dès le commencement de la vie » prend un goût particulièrement amer, dès lors que l’avortement justifié par la détresse a déjà fait plus de sept mil­lions de victimes en France depuis cette loi Veil qu’il dit vouloir faire respecter dans ses « principes fondamentaux ».

Partage des responsabilités

La mesure la plus commentée de la loi, celle qui touchera sans doute le plus de gens dans leur vie ordinaire, est celle obligeant les parents à partager leurs droits au congé parental, sous peine d’en perdre une partie.

Concrètement – et en simplifiant un peu, car on est en pleine usine à gaz – le congé parental actuellement fixé à six mois pour la naissance du premier enfant pourra atteindre un an – mais à condition que l’autre parent prenne le deuxième semestre. La loi ne parle pas de père ou de mère : cela est totalement dépassé depuis la loi Taubira. Mais en pratique, il s’agit donc que le père mette la main aux fourneaux. L’article 1er de la loi – votée sans un seul vote contre, rappelons-le – montre bien qu’elle vise à « lutter contre les stéréotypes sexistes », à « favoriser une meilleure articulation des temps de vie et un partage équilibré des responsabilités parentales ».

A partir du deuxième enfant, la « prestation partagée d’éducation de l’enfant » pourra atteindre trois ans – mais à la condition que six mois au moins soient pris par l’« autre parent ». Cela compliquera un peu plus la vie de celles qui choisissent d’être mè­res au foyer.

« Changer les mentalités »

Najat Vallaud-Belkacem, qui a dit vivre, lors de l’adoption de la loi, « un moment d’émotion pure », l’a bien précisé lors de son dernier discours à la commission mixte paritaire qui a travaillé d’arrache-pied pour obtenir un texte prêt à voter avant les vacances parlementaires : il s’agit de « changer les mentalités ». D’en finir avec l’« inéquitable répartition des responsabilités domestiques et parentales ».

On se croirait au plus fort du zapatérisme, où « la » maire d’une petite ville a décrété un couvre-feu pour les hommes le jeudi soir afin que leurs femmes puissent sortir pendant qu’ils font la vaisselle.
Cette répartition des tâches imposée par la loi se fonde évidemment sur la chasse aux stéréotypes de genre, devenus « stéréotypes sexistes » dans le premier article de la loi : on jongle là entre la promotion de la parité qui est en réalité une discrimination positive en faveur des femmes, et la négation de la différence entre hommes et femmes qui fait aussi partie de ses objectifs. Si l’on peut se sentir indifféremment homme ou femme quel que soit le sexe biologique, pourquoi faire ces manœuvres compliquées au bénéfice des femmes ? C’est une énigme qui reste à résoudre…

La fin du bon père de famille

Totalement logique, en revanche, est la disparition programmée par la loi du concept et des termes « bon père de famille » de tous les textes français où ils se trouvaient encore. Ils sont remplacés par le mot « raisonnable » ou « raisonnablement » – encore une petite folie socialiste !

Au-delà du toilettage sémantique, et à sa racine, se trouve un refus du « patriarcat », du « paternalisme », et même de la « paternité » tout court. Cela peut paraître anecdotique, mais c’est en réalité bien plus significatif que toutes les mesures de parité dans l’entreprise et les partis politiques que la loi d’égalité met en avant.

Cela s’inscrit pleinement dans l’idéologie du gen­re dont la loi est une mise en œuvre claire et nette. Pour ceux qui ont encore besoin de preuves, voici le dernier objectif de la loi énoncé dans son article premier : la politique pour l’égalité devra comporter « des actions visant à porter à la connaissance du public les recherches françaises et internationales sur la construction sociale des rôles sexués ».
Aucun vote contre…

Jeanne Smits


J'ajoute l'encadré qui a paru en même temps que le texte ci-dessus…

L’exemple suédois

Le choix compulsif d’une répartition des tâches maternelles et paternelles afin de diluer le rôle spécifique de chacun dans une « parentalité » indéfinie a été dicté par l’exemple des pays scandinaves. Ils ont été les premiers à instaurer une obligation d’alternance de congés pour les pères et les mères travaillant tous deux, avec une indemnisation similaire et importante et une durée de congés prolongée – jusqu’au deuxième anniversaire de l’enfant, au plus fort de l’expérience.
C’est le fameux « modèle suédois » dont les gouvernements successifs, et aujourd’hui le législateur, se sont inspirés pour créer la nouvelle loi.

En fait, c’est un contre-modèle. A 18 mois, 92 % des enfants suédois vont en structure d’accueil ; l’école à la maison est interdite en pratique. Le travail des femmes est une quasi nécessité. Le sociologue Jonas Himmelstrand fait la corrélation entre ces réalités et les taux de dépression, de mal-être, et de difficultés d’éducation exceptionnellement élevés chez les jeunes, les adolescents et parents suédois.


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05 septembre, 2014

Prison pour une Irlandaise qui fait l'école à la maison

Ils méritent la prison !
Monica O’Connor a 47 ans et six enfants : cette Irlandaise n’a ni tué, ni volé, elle travaille chez elle, reçu chez elle 22 enfants en tant que famille d’accueil, et exerce la profession d’assistante aux accouchements à domicile, c’est une femme épanouie et ses enfants vont bien. Tous ont été scolarisés à domicile ; deux le sont encore, les plus jeunes. Et c’est là que cette histoire ordinaire de gens heureux dérape, rapporte LifeSite : aux termes d’une nouvelle loi, Monica O’Connor a été condamnée à la prison pour avoir violé ce nouveau texte qui, sans interdire l’école à la maison, l’entoure d’obligations faramineuses.

La peine fut modeste : Monica a passé trois heures en prison, mercredi. Symbolique – mais justement, très symbolique d’une volonté de contrôler les parents chez eux, de ne pas reconnaître en eux les premiers éducateurs de leurs enfants.
Elle a été poursuivie par une toute nouvelle agence de « protection de l’enfance », TUSLA, qui pourrait bien engager de nouvelles poursuites contre Monica l’année prochaine et qui a également fait condamner son mari Edward O’Neill, qui dispense une partie des cours et qui doit encore purger sa peine.
L’ingérence dans la vie familiale est évidente et, au demeurant, interdite par la Constitution irlandaise. Mais celle-ci ne peut être directement invoquée devant les juridictions de première instance. Monica O’Connor a décidé d’en rester là sur le plan judiciaire et de ne pas faire appel : à son avis, TUSLA recherche précisément à donner une telle ampleur à l’affaire et les deux parents ne veulent pas lui donner cette satisfaction.
L’Irlande n’interdit pas l’école à la maison mais depuis l’entrée en vigueur relativement récente de la loi en 2000, les parents qui font ce choix doivent obtenir un permis au terme d’une évaluation de la part des autorités ; tant qu’ils ne l’ont pas les enfants sont considérés comme faisant l’école buissonnière. Depuis peu, la toute nouvelle agence TUSLA a été chargée de vérifier que les parents se conforment à cette loi. Si les parents sont recalés à l’examen ou refusent de suivre le processus, ils sont désormais obligés d’inscrire leurs enfants à l’école locale.
En lançant la procédure contre Monica et Edward O’Neill, les pouvoirs publics tentent selon une association de scolarisation à domicile de faire pression sur tous les parents qui font ce choix, afin qu’ils s’enregistrent.
Monica souligne qu’elle avait accepté sans difficulté d’être évaluée pour pouvoir accueillir des enfants qui n’étaient pas les siens : « Après tout, l’Etat en avait la responsabilité finale. » Mais pour les siens, pas question !
Pour avoir refusé d’enregistrer leurs enfants comme scolarisés à domicile les O’Neill ont déjà écopé d’une amende de 2.000 euros en juin 2013, puis de 1.300 euros en décembre 2013. Refusant de payer, ils ont été condamnés à 10 jours de prison. Monica a été relâchée – en libération conditionnelle – au bout de trois heures, pour « bonne conduite ». Elle devra « rester sobre » et ne pas « fréquenter les pubs », aux termes de sa libération conditionnelle.
Les voyous, on les a à l’œil !

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18 janvier, 2014

Ecole à la maison : nouvelle persécution de la famille Wunderlich

Un juge des affaires familiales allemand vient de refuser à des parents chrétiens, persécutés pour leur choix de faire l’école à la maison, la garde légale de leurs quatre enfants, afin que la famille ne puisse émigrer vers un pays où cette pratique est légale.

Les enfants Wunderlich, violemment séparés de leurs parents en août, sont retournés dans leur famille en septembre mais sous la tutelle de travailleurs sociaux, et les parents ont dû les envoyer à l’école publique contre leur volonté. Le jugement, rendu en décembre, qualifie la scolarisation à domicile de « mise en danger du bien-être de l’enfant », l’assimilant à une « camisole de force » qui condamne les enfants à « des années d’isolement ».

Le juge précisait toutefois qu’aucun effet néfaste n’avait été constaté sur ces enfants qui ont bénéficié de longues années d’école à la maison.

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