07 février, 2015
11 novembre, 2014
La République slovaque a approuvé la tenue d’un référendum à propos du mariage
20 décembre, 2011
Un monument à la douleur des femmes qui ont avorté
Il a été inauguré en Slovaquie le 28 octobre dernier, en présence du ministre de la Santé : dû au jeune sculpteur slovaque Martin Hudáčeka, le monument avait été commandé par un groupe de jeunes mères de ce pays ex-communiste où l'on semble, mieux sans doute que dans notre Europe occidentale repue, prendre la mesure de l'horreur de l'avortement. En Slovaquie, le taux de natalité est à 1,33 enfant par femme et c'est bientôt toute une nation qui pleurera ses enfants perdus.
La sculpture est dédiée à « l'enfant qui n'est pas né ». Une maman à genoux, en pierre et en pleurs, est consolé par son enfant aussi transparent que le cristal qui lui pose avec bonté la main sur la tête. Regret et pardon, souffrance et amour, et beaucoup de tristesse…
© leblogdejeannesmits.
26 septembre, 2007
Slovaquie : les hôpitaux obtiennent le droit de ne plus pratiquer d'avortements
Selon le site pro-vie canadien Lifesite, le ministère de la santé slovaque vient d'abroger un réglement contraignant tous les hôpitaux du pays à pratiquer des avortements. Une décision qui intervient pour le cinquantenaire de la légalisation de l'avortement par le régime communiste. La Slovaquie, qui compte 5 millions d'habitants, totalise actuellement quelque 14.000 avortements par an, et depuis la légalisation on estime à près de 1.37 million le nombre de suppressions volontaires d'enfants à naître.
La reconnaissance d'un droit à l'objection de conscience pour les hôpitaux dans ce pays à 70 % catholique intervient au terme d'une campagne agressive menée depuis début septembre par des groupes pro-vie rassemblés sous le nom “Pravo Na Zivot”. Ce groupe a financé l'affichage de 500 panneaux publicitaires et placards sur les transports en commun, notamment dans la capitale Bratislava, montrant le résultat d'un avortement à 11 semaines.
Aussi bien les groupes pro-vie que le Planning familial slovaque ont estimé que la brutalité de l'image a provoqué la décision. C'est ce qui s'appelle un réveil des consciences...
Sans doute peut-on se poser des questions sur l'opportunité de rendre de telles images visibles par des enfants. Je n'aimerais pas, pour ma part, que mes enfants les voient... mais parce que la vérité à laquelle elles renvoient est insupportable. Comment peut-on expliquer à des enfants que des mères demandent qu'on tue leur propre bébé, sans lacérer leur confiance dans le monde des « grands » ?
Mais il est vrai aussi que cette constatation visuelle de la réalité est un puissant détonateur pour qu'on en finisse avec l'assassinat des tout-petits.
Et il est vrai aussi que personne n'hésite à montrer aux enfants et aux jeunes les atrocités de la Shoah.