Pamela Acker précise et source ses affirmations sur l’utilisation de cellules provenant de bébés avortés pour produire de nombreux vaccins COVID-19 (traduction intégrale)
a. La lignée cellulaire WI-38 (utilisée dans les vaccins ROR et contre le zona) provient du 32e bébé qui a été utilisé dans une série d’expériences. Les autres lignées cellulaires qui sont sorties de l’Institut Wistar comprennent la lignée WI-26 (provenant du 20e bébé) et la lignée WI-44 (du 38e bébé).b. La lignée MRC-5 (utilisée dans les vaccins contre l’hépatite A, la rougeole et le zona) a nécessité 5 avortements avant de se développer.c. WALVAX2, la lignée cellulaire fœtale avortée la plus récente, provient du 9e bébé avorté d’une série.d. RA273, qui est le virus utilisé dans le vaccin contre la rubéole, provient du 27e bébé avorté dans le but de trouver le virus. Les mères qui ont été infectées par le virus de la rubéole pendant leur grossesse ont été activement encouragées à avorter. Quarante autres avortements volontaires de bébés exposés à la rubéole ont été pratiqués par la suite, bien que la souche RA273 soit celle qui a finalement été utilisée dans la préparation finale du vaccin.
a. L’histoire est longue des nouvelles lignées cellulaires fœtales avortées qui ont été développées pour remplacer des lignées cellulaires plus anciennes et sénescentes (les lignées cellulaires provenant de fœtus avortés s’éteignent et ne sont pas véritablement immortelles). Les lignées IMR-90 et IMR-91, développées à la fin des années 1970 et au début des années 1980, sont des lignées cellulaires sur mesure obtenues à partir d’avortements afin d’imiter les lignées WI-38 et MRC-5. WALVAX2, qui a été développé en 2015, visait à offrir aux chercheurs un remplacement à ces deux mêmes lignées cellulaires, qui étaient désormais en diminution ou difficiles à obtenir au niveau international.b. L’utilisation croissante de lignées cellulaires de fœtus avortés conduit à s’intéresser à la recherche sur les cellules souches embryonnaires (E.S.), qui implique la création et la destruction de la vie humaine en continu. Un article paru dans le Scientific American rapporte ainsi : "Les lignées de cellules fœtales du commerce sont d’une utilité limitée pour les scientifiques car elles n’imitent pas fidèlement les tissus natifs et ne représentent qu’un sous-ensemble des types de cellules : WI-38 et MRC-5, par exemple, ont été dérivées de poumons de foetus. Les lignées peuvent également accumuler des mutations après s’être reproduites in vitro au fil du temps". En 2018, après la résiliation d’un contrat fédéral portant sur les tissus fœtaux humains, 64 institutions médicales et scientifiques ont signé un appel au Congrès pour qu'il ne perturbe pas leur approvisionnement en tissus fœtaux.c. La législation autorisant la recherche sur les tissus fœtaux avortés et les cellules souches embryonnaires s’est considérablement développée au cours des dernières décennies. En 1993, le président Clinton a annulé un moratoire de cinq ans sur la recherche sur les tissus de fœtus avortés. En 2001, le président Bush a ouvert le domaine de la recherche sur les cellules souches embryonnaires (CSE) en autorisant l’expérimentation sur des « embryons déjà existants ». En 2009, le président Obama a encore assoupli les restrictions sur la recherche sur les cellules souches embryonnaires, permettant aux chercheurs d’obtenir délibérément davantage de cellules souches embryonnaires. Les décrets de Bush et d’Obama ont permis le financement fédéral de la recherche sur les cellules souches embryonnaires ; dans le même temps, les universités trouvaient déjà des moyens de contourner la législation gouvernementale qui restreignait la recherche, et elles utilisaient les CSE sans tenir compte des réglementations fédérales.d. Des sondages Gallup indiquent que le pourcentage de la population américaine qui pense que la recherche sur les cellules SE est moralement acceptable a augmenté de 14 % entre 2002 et 2020 – si bien qu’aujourd’hui près d’un tiers de tous les Américains affirment n’être en rien gênés par cette recherche.e. Planned Parenthood a été accusé de manière répétée de faire du trafic de tissus provenant d’avortements pratiqués dans ses installations, et indépendamment du fait que la société « tire profit » ou non de ces tissus, elle les fournit certainement aux chercheurs sous le couvert de « dons de tissus ».f. Des tissus fœtaux avortés sont maintenant utilisés dans des expériences qu’il serait contraire à l’éthique d’effectuer sur des êtres humains vivants et qui ne peuvent être décrites que comme monstrueusement grotesques : comme fabriquer des souris « humanisées » pour mener des expériences sur les lésions à long terme des organes dans des modèles de maladie. Selon un rapport publié en 2015 dans Scientific American, « Chaque mois, Lishan Su reçoit une petite éprouvette sur glace d’une entreprise de Californie. On y trouve un morceau de foie provenant d’un fœtus humain avorté entre 14 et 19 semaines de grossesse ». Dans une recherche publiée par Yash Agarwal et al. en 2020, la peau, le cuir chevelu, le foie, le thymus et la rate de fœtus avortés ont été récoltés et greffés sur des souris. Les images de cheveux de bébé sur le dos des animaux, qui ont été publiées dans le cadre de l’article de recherche, sont profondément troublantes.
Les scientifiques ont noté qu’il s’agissait de fœtus intacts (et non d’embryons, soit dit en passant, puisque la plupart ont largement dépassé le stade embryonnaire). Tout comme les avortements de New York obtenus par césarienne, ceux pratiqués à l’hôpital Lying-in/Women’s Hospital de Boston entre la fin des années 1940 et le début des années 1950 étaient également réalisés ainsi.Selon les docteurs Enders et Wells, qui ont remporté le prix Nobel pour leurs recherches sur la polio :Cela a été obtenu sous précautions stériles au moment d’une hystérotomie abdominale pour des raisons thérapeutiques. Des embryons de 12 à 18 semaines de gestation ont été utilisés. Rarement, des tissus ont été obtenus à partir de fœtus mort-nés, ou de prématurés lors de l’autopsie... Dans les expériences sur la propagation prolongée du virus, trois sortes de matériaux embryonnaires ont été utilisés : des éléments de peau, de tissu conjonctif et de muscle ; du tissu intestinal ; du tissu cérébral. Les tissus embryonnaires étaient préparés de la manière suivante. Chaque fois que cela était possible, l’embryon était retiré de la poche amniotique en prenant des précautions stériles, transféré dans une serviette stérile et maintenu à 5° C jusqu’à la dissection. [11]Pour expliquer cela plus en détail, le type d’avortement pratiqué - « hystérotomie abdominale » – qui est un type de césarienne, et non une hystérectomie – était un indice révélateur de ce que faisaient ces médecins. Selon le Journal of Obstetrics and Gynecology, parce que l’hystérotomie abdominale est considérée comme une chirurgie majeure et non comme une méthode de routine pour mettre fin à une grossesse précoce, ils ont précisé : « Elle n’est pratiquée que dans des circonstances particulières, par exemple lorsqu’une stérilisation est nécessaire en plus de l’interruption de grossesse, comme dans le cas d’une maladie cardiaque, du diabète, de la tuberculose ou d’une maladie mentale. Sinon, elle est employée après le deuxième trimestre. »Le Dr Gonzalo Herranz, professeur d’histologie et d’embryologie générale à l’Université de Navarre, en Espagne, qui est un fervent défenseur de la vie et s’oppose catégoriquement à ce type de recherche, décrit comment les avortements devraient idéalement être pratiqués lorsque du matériel fœtal est utilisé :« La bonne manière consiste à avoir recours à la césarienne ou à l’ablation de l’utérus. C’est la seule façon de garantir la stérilité bactériologique. Dans les deux cas, donc, pour obtenir des cellules embryonnaires à mettre en culture, il faut adopter un avortement programmé, en choisissant l’âge de l’embryon et en le disséquant de son vivant pour prélever des tissus à placer dans un milieu de culture ». [12]Citation 11 : Thomas H. Weller, John F. Enders, Frederick C. Robbins et Marguerite B. Stoddard ; Studies on the Cultivation of Poliomyelitis Viruses in Tissue Culture : I. The Propagation of Poliomyelitis Viruses in Suspended Cell Cultures of Various Human Tissue ; Journal of Immunology 1952;69;645-671Citation 12 : Pietro Croce, MD, Vivisection or Science - a choice to make, Fetal Experimentation-Over the top ; Part 1, p. 99-108.CIVIS, 1991, Fondation Hans Ruesch.
Il faut engager fortement les Fidèles, à l’exemple du Prophète, à prier de cette manière vraiment salutaire, et bien leur montrer la différence qui existe entre la prière des infidèles et celle des Chrétiens.C’est qu’en effet les infidèles prient aussi et avec ardeur. Ils demandent à la Divinité la guérison de leurs plaies et de leurs maladies, ils la supplient de les faire sortir des maux qui les accablent, ou qui les menacent. Mais en même temps, ils placent le principal espoir de leur délivrance dans les remèdes de la nature ou de l’art. Ils vont plus loin même, car ils acceptent sans scrupule les remèdes du premier venu, quand même ils sauraient que ces remèdes ont été préparés avec sortilèges, magie et intervention du démon. Il suffit pour les déterminer qu’ils aient le moindre espoir de recouvrer la santé.Mais la conduite des Chrétiens est bien différente. Dans leurs maladies, dans leurs adversités, Dieu est leur principal refuge et, à vrai dire, leur seul soutien. Précisément parce qu’ils Le reconnaissent, et L’adorent comme l’Auteur de tout bien, et leur Libérateur, ils n’oublient point que les remèdes n’ont de vertu curative que celle que Dieu leur a donnée, et par suite qu’ils ne sont utiles aux malades qu’autant que Dieu le veut. La médecine en effet vient de Dieu, qui l’a donnée Lui-même aux hommes pour guérir leurs maladies. De là ces paroles de l’Ecclésiastique: « Le très Haut a fait produire à la terre les remèdes, et l’homme prudent ne les dédaignera pas. » Aussi ceux qui appartiennent à Jésus-Christ ne mettent point dans ces remèdes leur principal espoir de guérison ; mais ils se confient surtout en Dieu qui est le Créateur même de la médecine.C’est pourquoi nos Saints Livres reprennent fortement ceux qui ont trop de confiance dans la science, et ne demandent aucun secours à Dieu. Il y a plus, ceux qui mènent une vie conforme aux préceptes du Seigneur, s’abstiennent de tous les remèdes que Dieu n’a pas destinés à cette fin ; quand même ils seraient assurés de guérir par ce moyen, ils ne laisseraient pas de les avoir en horreur comme des artifices et des enchantements du démon. [C’est moi qui souligne.]
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