Saisine du Conseil d'Etat à propos de la chloroquine : un entretien avec André Bonnet, de “Promouvoir”
C’est une procédure très intéressante qui s’appuie notamment sur le droit de la santé – rien ne s’oppose à une autorisation au moins temporaire de ce seul espoir pour de nombreux patients – et sur le respect du principe de précaution, à l’heure où le confinement est en train de détruire l’économie française.
Malgré l'élargissement des conditions d'accès au traitement recommandé par le Pr Didier Raoult, par un décret daté du 25 mars, publié le 26, elle garde son intérêt, qui est double.
D'une part, elle met en évidence le fait que la longue période de dénigrement et d'interdiction du traitement dans le cadre de l'épidémie de coronavirus a eu des conséquences terribles. De l'autre, elle répond au fait que la possibilité de prescrire le traitement aux personnes contaminées par le COVID-19, réduisant considérablement la période de contagiosité, n'est pour l'heure que partielle.
André Bonnet, avocat, fondateur de l’association « Promouvoir », a bien voulu répondre à mes questions à propos de cette procédure qui vise à faire cesser une situation aussi étrange qu’aberrante.
L'entretien est à lire sur reinformation.tv, qui reprend une part de ses activités dans le cadre de la crise actuelle : c'est par là.
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