Les effets collatéraux de la politique de l'enfant unique
En Chine, un couple de parents a refusé des soins relativement simples pour leur petite fille née avec une anomalie congénitale, relate LifeSite citant Steven Mosher, le remarquable président du Population Research Institute. Ils ont demandé que leur fillette, Mei, soit transférée vers un centre de soins palliatifs pour y mourir. La petite Mei est née sans anus, une affection qui se corrige au moyen d'une opération chirurgicale que le corps médical ne demandait qu'à pratiquer ; mais voilà, Mei n'était pas née parfaite et au pays de l'enfant unique, où les deuxièmes chances n'existent pas. Ajoutez à cela le fait que Mei n'est pas un garçon, cela diminuait d'autant les chances pour que ses parents fassent tout pour l'accueillir chez eux.
La petite Mei a un peu plus de trois semaines : déjà, son abdomen est gonflé et très douloureux et on s'attend à ce qu'elle n'atteigne pas son premier mois.
Selon Steven Mosher, ce genre de situation tragique est loin d'être unique en Chine.
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