Novavax : solution “éthique” et “sûre”… ou non ?
The HEK-293 cell line was used in the development, production and testing of the AstraZeneca vaccine. The HEK-293 cell line was used to test the efficacy of the Pfizer and Novavax vaccines, but not in their development or production.The HEK-293 cell line was derived from the kidney of an aborted baby girl in the 1970s, and cell lines derived from these cells continue to be used in a broad range of scientific research, including in the production and testing of vaccines."
« La spike est produite par un virus d’insecte cultivé sur des cellules d’insectes. Il peut donc théoriquement rester des déchets provenant de ces cellules d’insectes dans le produit final, on ne connaît pas les conséquences possibles. La protéine produite est ensuite encapsulée dans des nanoparticules de polysorbate 80 (2) capable de provoquer des chocs anaphylactiques comme le PEG des nanoparticules des vaccins à ARNm. Tout ceci est adjuvanté avec le Matrix-M®, un nouvel adjuvant qui a été testé en essais cliniques pour des vaccins anti-grippaux. Comme tous les adjuvants, il augmente les réactions inflammatoires et permet la production supérieures d’anticorps par rapport à un vaccin non adjuvanté. »
« Seuls les Covids détectés au moins 7 jours après la deuxième dose sont comptabilisés pour mesurer l’efficacité. On lit à un autre endroit du protocole que seuls les Covids détectés plus de 14 jours après la deuxième dose compteront pour les mesures d’efficacité : en totale contradiction donc dans le même document. »
L’AIMSIB cite également dans son document largement sourcé un nombre non négligeable d’effets secondaires :
En tout état de cause, Novavax injecte la protéine Spike, rendue plus stable et donc capable de survivre plus longtemps dans l’organisme, et non un virus désactivé ou atténué, avec tous les inconvénients de cette protéine qui semble être par sa propre toxicité à la racine des problèmes cardiaques et sanguins liés aux « vaccins génomiques ». (Car si cette protéine n’était pas toxique, comment expliquer la vague de problèmes cardiaques et sanguins reconnus comme effets indésirables de ces vaccins ?)
Quant à l’idée de baptiser le nouvel adjuvant utilisé pour Novavax « Matrix-M® », elle laisse songeur. Il s’agit de nanoparticules de saponines (de l’arbre chilien Quillajua saponaria), de cholestérol et de phospholipides. Cet adjuvant provoquerait moins d’effets indésirables que d’autres, selon Novavax.
© leblogdejeannesmits
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