Le nombre de dossiers ouverts pour inaptitude de longue durée au travail, soit pour COVID long, soit pour d’autres raisons est également sans précédent, selon Davison.
Davison s’exprimait à l’occasion d’une conférence de presse virtuelle organisée le 30 décembre dernier par la Chambre de commerce de l’Indiana, aux Etats-Unis, où l’assureur OneAmerica a son siège social depuis 1877. Le groupe « pèse » 100 milliards de dollars et compte 2.400 employés ; il est spécialisé dans la vente d’assurances-vie, notamment les assurances-vie collectives destinées aux employeurs de cet Etat.
Son constat de surmortalité porte précisément sur les employés de ces entreprises. Des gens dans la force de l’âge.
« Nous observons, en ce moment même, les taux de mortalité les plus élevés que nous ayons jamais vus dans l'histoire de cette activité – et pas uniquement chez OneAmerica », a déclaré Scott Davison, ajoutant : « Les données concordent chez tous les acteurs de cette filière. »
Une telle surmortalité – 40 % – c’est du « jamais vu », selon le PDG. Il a pris soin de préciser que la plupart des demandes d’indemnisation pour décès déposées ne sont pas classées dans la catégorie des décès dus au COVID-19.
Davison a ainsi noté : « Pour vous donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe dite “trois sigmas”, qui n’arrive qu’une année sur 200, correspondrait à une augmentation de 10 % par rapport à la période pré-pandémique. Donc 40 %, c’est du jamais vu. »
Davison ne prétend pas connaître la cause de ces faits. Il s’est contenté de dire : « Ces données nous montrent que les décès qui sont déclarés comme des décès COVID sous-estiment grandement les pertes réelles de décès à cause de la pandémie parmi les personnes en âge de travailler. Il se peut que tous les décès ne soient pas inscrits dans la catégorie COVID sur leur certificat de décès, mais les chiffres sont tout simplement énormes, énormes. »
Rappelons d’abord que les attributions de décès au COVID, un peu partout dans le monde « développé », ont généralement péché par excès plutôt que par défaut, notamment parce que les hôpitaux sont mieux rémunérés pour la prise en charge de cette maladie. Il suffit souvent de mourir « avec » le COVID (et non « du COVID ») pour être inscrit au tableau de ses victimes.
Le Dr Robert Malone, pionnier de la technologie des vaccins ARNm aujourd’hui très critique de leur utilisation imposée à grande échelle, a commenté ces déclarations dans l’émission War Room de Steve Bannon, soulignant que « le taux de mortalité aux États-Unis est actuellement parmi les plus élevés du monde » et précisant que le problème ne semble pas se limiter au COVID-19 : c’est le « taux de mortalité globale » qui est « énorme » dans le pays, a-t-il dit.
Il a d’emblée fait remarquer que cette augmentation de la mortalité parmi les 18-64 ans, d’abord observée au 3e trimestre de 2021, coïncide justement avec le moment où les « MTA » (« mRNA therapy agent », agent thérapeutique ARNm qu’on présente comme un vaccin) ont été imposés à de nombreux salariés de moins de 65 ans par de nombreuses entreprises, faisant fortement augmenter la proportion de vaccinés parmi cette population.
Malone précise qu’il faut comparer le taux de mortalité de ces employés vaccinés avec celui de la population en général. Et il cite une journaliste qui a fait ce travail dans l’Indiana : elle a constaté que le taux de mortalité général dans l’Etat est « significativement plus bas » que chez les individus assurés et salariés dont l’assurance est financée par leurs employeurs. « Cela suggère que ces personnes qui se trouvent sous le coup de contraintes de la part des assurances et qui sont vaccinées en forte proportion ont un taux de mortalité beaucoup plus élevé que la population en général. C’est le genre de travail qu’il faut faire pour découvrir quelle est la relation de cause à effet. »
Malone ajoute que l’on ne peut qu’en déduire des hypothèses. « Néanmoins, il ne fait pas de doute que les politiques fédérales auront été un ratage abject. Que cela soit dû aux vaccins ou au refus du traitement précoce, nous sommes confrontés à une défaillance massive des politiques publiques », a-t-il dit.
Malone écrivait dimanche dernier sur
Substack combien il avait été sceptique au départ face aux commentaires sur le « Great Reset » (la grande réinitialisation du Forum de Davos), et la possibilité que les « vaccins génétiques » puissent provoquer de nombreuses morts dans les trois années à venir. Il assurait à ses interlocuteurs que cela était « fort peu probable », se gardant par courtoisie de les accuser sans détours de « complotisme ».
« Il commence à me sembler que la plus grande expérience sur des êtres humains dans l’histoire enregistrée a échoué. Et, si ce rapport plutôt sec d'un cadre supérieur d’une compagnie d’assurance-vie de l'Indiana se vérifie, alors la campagne de Reiner Fuellmich sur les “Crimes contre l’humanité” en vue de la convocation de nouveaux procès de Nuremberg commence à sembler beaucoup moins chimérique et beaucoup plus prophétique. »
Malone a également affirmé qu’au minimum, nous sommes confrontés « à la fois à une énorme tragédie humaine et un profond échec de la politique publique du gouvernement américain et du système de santé américain », qui « ont contribué à une perte massive et évitable de vies humaines ». Au pire, ce sont des « crimes contre l’humanité » perpétrés par le MTA.
Et d’ajouter :
« EN OUTRE, nous avons également vécu la campagne de propagande et de censure la plus massive et la mieux coordonnée au niveau mondial de l’histoire de l’humanité. Tous les grands mass médias et les entreprises “tech” qui gèrent les médias sociaux ont coordonné leurs efforts pour étouffer et supprimer toute discussion sur les risques des vaccins génétiques ET/OU sur les traitements alternatifs précoces.
« SI ce rapport [actuariel] est vrai, il faudra rendre des comptes. Il ne s’agit pas seulement d’écraser le premier amendement [sic] de la Constitution des États-Unis et de le broyer dans la boue avec une armée d'infanterie lourde alimentée par l’intelligence artificielle. Cet article se lit comme la description sèche d’un événement de masse évitable causé par une procédure médicale expérimentale obligatoire. Une procédure pour laquelle toutes les possibilités pour les victimes de s’informer sur ses risques potentiels ont été méthodiquement effacées de l’internet et de la conscience publique par une cabale internationale corrompue opérant sous le drapeau de la “Trusted News Initiative”. George Orwell doit se retourner dans sa tombe. »
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