La fille d’un Hongkongais qui a été hospitalisé pour COVID-19 le 14 octobre à l’hôpital Edward à Naperville, dans l’Illinois (Etats-Unis), vient de publier un communiqué indiquant que son rétablissement n’a été possible que grâce à une décision du juge du comté de DuPage, qui a enjoint à plusieurs reprises à l’hôpital d’autoriser le patient d’être soigné au moyen de l’ivermectine.
Sun Ng, 71 ans, avait été traité, sans succès, au remdesivir, et son état s’était tellement détérioré qu’un médecin avait témoigné devant la justice qu’il n’avait guère que 10 ou 15 % de chances de survie.
Intubé et placé en coma artificiel pendant un mois, Sun Ng était « en fait sur son lit de mort », a reconnu ce médecin.
S’étant renseignée sur les traitements possibles du COVID_19, la fille de Sun Ng, le Dr Man Kwan Ng, a demandé fin octobre que l’on administre de l’ivermectine. Devant le refus de l’hôpital, elle a intenté le 1er novembre une action en justice contre Edward-Elmhurst Health et obtenu une ordonnance en ce sens, que l’hôpital a refusé d’exécuter. Une nouvelle audience le 5 novembre a abouti à un commandement similaire, dans lequel le juge Paul Fullerton notait que les effets indésirables potentiels de l’ivermectine (vertiges, démangeaisons, diarrhée) « étaient tellement minimes que la situation actuelle de M. Ng dépasse de cent fois ce risque ».
Après un nouveau refus de l’hôpital, au motif que le médecin qui devait administrer le traitement n’était pas vacciné et que le médecin chef de l’établissement n’était pas en mesure de le faire à sa place, il a fallu un nouveau référé pour qu’enfin l’ivermectine soit administrée par le médecin choisi par la famille.
Sun Ng pu quitter l’hôpital le 27 novembre, selon un communiqué de presse de Mauck & Baker, LLC, le cabinet d’avocats qui a représenté la famille dans cette affaire. Il respire sans assistance, a commencé à réapprendre à manger seul avant de quitter l’hôpital et peut se déplacer avec un déambulateur.
Le Dr Ng a déclaré dans un communiqué de presse daté du 29 novembre que le rétablissement de son père a « dépassé les attentes » de ses proches, « Dieu soit loué ». Elle ajoutait : « Notre famille remercie tout particulièrement le juge Paul Fullerton. Sans lui, nous n’aurions pas pu ramener mon père à la maison et nous n’aurions pas pu le voir nous sourire à nouveau. Nous remercions aussi très sincèrement le Dr Alan Bain de nous avoir accompagnés et d’administré l’ivermectine à mon père. »
Joseph Monahan, l’avocat de l’hôpital Edward, avait précédemment soutenu que Ng avait manifesté une amélioration dès avant avoir reçu de l’ivermectine. Selon la presse locale, Monahan a également déclaré que l’hôpital n’était pas en mesure de confirmer le contenu du médicament administré parce que le médecin l’avait obtenu en ligne depuis l’Inde. Bien sûr…
L’hôpital, lui, a refusé tout commentaire.
1 commentaire:
Bravo, pour ce combat !!!. C'est un bel exemple d'attention envers nos anciens.
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