Un groupe international de près de cent femmes – médecins, religieuses consacrées et responsables et militantes pro-vie – ont lancé un appel aux chrétiens et à toutes les personnes de bonne volonté pour que l’on cesse de justifier moralement l’utilisation de vaccins « souillés par l’avortement », c’est-à-dire ayant recours pour leur développement, leur production ou leur contrôle à des lignées de cellules provenant de bébés avortés. La déclaration, que j’ai moi-même eu l’honneur de signer, souligne que le fait de ne pas s’opposer à cette pratique alimente et fait avancer la culture de la mort à travers le trafic et l’exploitation de bébés avortés à des fins d’expérimentation médicale.
Parmi les signataires, originaires de 25 pays de par le monde, figure le docteur Wanda Półtawska (photo ci-dessus), médecin polonais centenaire, amie personnelle de feu le pape Jean-Paul II et victime d’expériences pseudo-médicales menées par le médecin personnel d’Adolf Hitler dans le camp de concentration nazi de Ravensbrück. Le Dr. Półtawska, également spécialiste en psychiatrie, aujourd’hui âgée de 100 ans, a consacré ces 70 dernières années à œuvrer pour la vie et pour la famille.
On notera aussi la présence, parmi les signataires, de trois anciens membres de l’Académie pontificale pour la vie : le Dr Pilar Calva (Mexique), Mercedes Wilson de Arzu (Guatemala) et Christine de Marcellus Vollmer (Venezuela). Ainsi que de l’Allemande Gabriele Kuby, amie de Benoît XVI.
Parmi les autres signataires figurent Abby Johnson, une militante américaine anti-avortement qui a travaillé comme directrice de clinique pour Planned Parenthood jusqu’en 2009, et dont les mémoires ont servi de scénario pour le film Unplanned de 2019 ; et sœur Deirdre Byrne, ancienne chirurgienne générale militaire et ancienne missionnaire qui a servi au Kenya, en Afghanistan, en Haïti, en Irak et au Soudan, et dont la prise de position en faveur des enfants à naître a attiré l’attention de la nation américaine en août 2020.
L’opposition aux vaccins développés ou produits au moyen de cellules fœtales obtenues lors d’avortements a déjà suscité la controverse en France et ailleurs, autour de la question de savoir si le recours aux vaccins constitue une coopération au mal, et à quel degré. Le pape et les instances vaticanes ont implicitement ou ouvertement rejeté cette opposition en allant jusqu’à dire que la réception du vaccin constitue un devoir de charité pour le catholique.
Le texte ci-dessous rejette cette approche en insistant sur le caractère barbare des avortements qui sont pratiqués, certes à la demande de la femme, mais organisés dans des conditions optimales pour augmenter les chances de réussite pour les chercheurs : avortements tardifs, prélèvement des organes sans anesthésie lorsqu’ils se font sur des tout-petits encore vivants…
En effet, les chercheurs ont besoin d’organes formés pour récolter des cellules vivantes capables de produire une lignée dite « immortelle » qui se prêtera le mieux à l’ingénierie génétique et à la reproduction autonome pendant de longues années (mais avec une limite dans le temps qui conduit à pratiquer de nouveaux avortements pour tenter d’aboutir à de nouvelles lignées exploitables). Ainsi les cellules HEK-293 aujourd’hui largement vendues et utilisées, ont-elles été obtenues au cours des années 1970 au terme de 293 expériences pratiquées sur des cellules prélevées sur des reins (kidneys en anglais) d’un nombre indéterminé d’« embryons humains » – ou plutôt des fœtus, vu le moment de la gestation.
A l’heure actuelle, le bénéfice attendu des agents biologiques Pfizer et Moderna, qui font tous les deux appel à ces lignées pour leurs tests, comme celui du vaccin à adénovirus AstraZeneca qui les utilise dans sa production, reste très modeste – même en admettant les statistiques d’efficacité présentées par leurs producteurs – eu égard au peu de létalité du COVID-19 parmi la population jeune et en en bonne santé, d’autant que rien ne permet aujourd’hui d’affirmer qu’ils protègent contre la contagion. Par ailleurs leurs effets indésirables immédiats, nettement plus fréquents que pour le vaccin anti-grippal, par exemple, ainsi que le nombre non négligeable de décès après vaccination et l’ignorance des effets à long terme d’une technique jamais utilisée à ce jour, constituent autant de circonstances dont il faut tenir compte dans le jugement moral que l’on porte sur ces vaccins « souillés par l’avortement ». Et quoi qu’il en soit de la réponse, il nous appartient de contester de manière claire le recours de plus en plus fréquent dans le monde de la recherche médicale aux « matériaux » fournis par des fœtus délibérément avortés. Car d’autres solutions existent.
A titre personnel, tout cela m’est une raison suffisante pour avoir signé le texte que je vous présente ci-dessous. Puisse cette démarche entreprise par des femmes au nom de l’amour maternel aider à cette prise de conscience.
Sans quoi, la logique de l’exploitation des enfants avortés (comme on l’a vu avec l’affaire du Planning familial vendant ou fournissant des « produits d’avortement » pour la recherche dans des conditions abominables) ne fera que s’étendre.
Si demain, la recherche médicale devait présenter comme un remède miracle une substance tirée de lignées de cellules souches embryonnaires récoltées sur des embryons produits in vitro, puis détruits par et pour la recherche, devrions-nous l’accepter à son tour ?
Ci-dessous, ma traduction intégrale de la déclaration. Toutes les notes, avec leurs liens, sont en fin de message. – J.S.
*
La voix des femmes pour la défense des enfants à naître
et en opposition aux vaccins souillés par l’avortement
L’avortement est le massacre des Saints Innocents des temps modernes. En tant que femmes, nous souhaitons que notre cri féminin soit entendu dans le monde entier. Cette déclaration vient du plus profond de nos cœurs maternels qui se consacrent à défendre la cause de la vie et à combattre la culture de la mort. Nous l’affirmons donc de tout cœur : « Nous ne serons pas complices du massacre des Saints Innocents des temps modernes et nous refusons donc d’accepter tout vaccin fabriqué en utilisant des cellules provenant de fœtus humains avortés. »
L’avortement : source du tissu fœtal
Regardons honnêtement la réalité de l’avortement. Environ une grossesse sur cinq dans le monde se termine par un avortement ; on estime que cela représente environ 40 à 50 millions d’avortements par an dans le monde (1). Depuis que l’industrie de l’avortement a commencé à fonctionner pour de bon, pas moins de 2,5 milliards de bébés à naître ont été assassinés dans le ventre de leur mère. Réfléchissons un instant à ce chiffre, et essayons de sonder cet abîme sans fond.
La cruauté exceptionnellement barbare du XXe siècle, avec ses deux guerres mondiales meurtrières et ses idéologies plus meurtrières encore, est sans commune mesure avec l’immense ampleur de ce massacre mondial des plus impuissants de tous les êtres humains. Comment ne pas garder ce fait fermement à l’esprit alors que nous réfléchissons à la moralité des vaccins fabriqués en utilisant des cellules provenant de fœtus humains avortés ?
Ce génocide des enfants à naître est impensable par son ampleur, mais il est tout aussi inadmissible par son odieuse brutalité : la manière dont ils sont assassinés est d’une barbarie qui dépasse l’entendement. Plaçons sous nos yeux quelques-unes des méthodes d’avortement chirurgical les plus utilisées (2). Imaginons un bébé garçon à neuf semaines après la conception : il peut faire des culbutes, froncer les sourcils et avaler. Pour avorter ce garçon à naître, un tube creux muni d’une lame acérée à son extrémité est inséré dans le ventre de sa mère et relié à un puissant aspirateur, qui le déchiquette en petits morceaux qui seront aspirés dans un flacon, puis jetés.
Imaginons maintenant une petite fille à naître, à la fin du troisième mois dans le ventre de sa mère : elle peut pleurer en silence, et elle le fait parfois, et elle peut ressentir la douleur. Pour avorter cette fillette, on insère une paire de pinces dans le ventre de sa mère pour saisir, briser et détacher ses os par torsion, jusqu’à ce que son corps soit totalement démembré, sa colonne vertébrale très probablement brisée et son crâne écrasé quand elle sera arrachée au corps de sa mère.
Enfin, imaginons un garçon à naître à 20 semaines : il peut reconnaître la voix de sa mère. Pour l’avorter, le médecin insère une longue aiguille dans l’abdomen de sa mère et lui injecte une forte solution saline, qu’il avale ; le poison corrosif le brûle à l’intérieur et à l’extérieur. En l’espace d’un jour, sa mère donnera effectivement naissance à son bébé mort ou mourant. Beaucoup de ces bébés naissent vivants, puis sont laissés seuls pour mourir. C’est une mort plus cruelle que celle des enfants sacrifiés dans la Géhenne, la vallée près de Jérusalem où les anciens Israélites sacrifiaient autrefois leurs propres enfants, les brûlant vivants entre les mains de l’idole cananéenne, Moloch. Les feux de l’infanticide les ont consumés plus rapidement que ne le sont les minuscules victimes d’aujourd’hui. Aujourd’hui, dans les mains de Moloch, il fait un froid glacial : le petit garçon frissonne avant de devenir silencieux et immobile, couché dans une mare de sang qui se refroidit rapidement. Autrefois emmailloté au chaud dans le ventre de sa mère, il gît maintenant sans vie dans une pièce stérile, nu de la tête aux pieds, sans personne pour le pleurer, sans que personne ne soit en deuil à cause de lui. (3)
Le « fruit » de la recherche sur le tissu fœtal
Comme si le nombre et la brutalité barbare de ces avortements ne suffisaient pas, on récolte aujourd’hui des parties de corps de bébés avortés (4) à des fins de recherche médicale dans une sorte d’histoire d’horreur de fœticide des temps modernes. Les avorteurs ont reconnu avoir modifié les procédures chirurgicales (5) afin de s’assurer que certaines parties du corps soient laissées intactes et utilisables par les chercheurs. Imaginez le même petit garçon, non pas brûlé par une solution saline, mais livré vivant à une horreur comparable au sacrifice humain des Aztèques, qui arrachaient les cœurs des vaincus alors qu’ils étaient étendus, haletants, sur les autels des sacrifices. Après avoir été mis au monde, peut-être par césarienne (6), le petit garçon ressent une douleur atroce lorsque l’avorteur lui prélève très rapidement un rein – sans anesthésie – pour que son organe puisse être expédié d’un jour sur l’autre afin de le garder bien frais pour le chercheur complice (7). Sachant cela, comment pouvons-nous volontairement tirer profit de leur sacrifice en usant d’un vaccin qui a utilisé le corps de ces bébés avortés à un moment quelconque du processus de production, peu importe depuis combien de temps ?
Pourtant, certains diront que ce mal est derrière nous, qu’il date de plusieurs décennies, alors que d'autres soutiennent que l'utilisation d'un vaccin souillé par l'avortement est moralement licite parce que la coopération au mal est « lointaine » (8). Mais ces positions reflètent-elles la véritable ampleur et la gravité de la situation ? Le mal que représente l’utilisation de lignées cellulaires fœtales avortées ne se limite pas à l’assassinat initial : s’y ajoutent la commercialisation permanente du corps de l’enfant, ainsi que le refus ultime de donner une sépulture à ses restes profanés. En outre, l’utilisation de tissus fœtaux avortés dans le cadre du développement d’interventions médicales alimente très certainement, et alimentera toujours la recherche de nouveaux tissus fœtaux avortés (9). Les lignées de cellules fœtales ne durent en effet pas indéfiniment (10), et les fabricants de vaccins sont fortement poussés à créer de nouvelles lignées qui correspondent aux anciennes – en choisissant de mener des expériences avec des bébés avortés du même sexe et à peu près du même âge (11). Cela s’est produit à de multiples reprises au cours des dernières décennies, la lignée cellulaire fœtale avortée la plus récente ayant été mise au point en 2015 (12). En outre, en raison de l’absence notable de protestations à propos des lignées cellulaires, la recherche biomédicale sur les enfants avortés s’est élargie au cours des dernières décennies pour s’étendre à la collecte des corps de bébés à naître assassinés (13) pour les utiliser dans le cadre de recherches qui seraient normalement considérées comme non éthiques sur un être humain (14). Moloch n’est jamais rassasié.
Les vaccins COVID-19 et le tissu fœtal
Examinons maintenant le cas actuel des vaccins COVID-19, dont beaucoup utilisent des lignées cellulaires de fœtus avortés (21), soit directement au cours du processus de fabrication, soit indirectement par le biais de tests. Tous ces maux ne pourront qu’être perpétués et encouragés par l’acceptation passive, « à titre temporaire » d’un vaccin entaché sur le plan moral. Réfléchissons au fait que le vaccin ROR, développé en 1971 et commercialisé par Merck, a été présenté comme une obligation morale (15) en raison de son potentiel de réduction du syndrome de rubéole congénitale (ce à quoi il ne parvient pas (16)). Le ROR contient un composant rubéoleux contestable sur le plan moral dont l’obtention a nécessité près de 100 avortements distincts (17), et malgré les déclarations de nos prélats selon lesquelles les catholiques qui utilisent le vaccin doivent s’opposer à son utilisation par d’autres moyens (18), il est toujours utilisé cinquante ans plus tard. Ni les voix des bergers ni les fidèles n’ont étouffé l’approbation tacite manifestée par leurs actions. En effet, le consentement généralisé aux vaccins souillés par l’avortement, en particulier de la part des chrétiens, n’a fait que contribuer à la culture de la mort (19). Nous ne pouvons pas rester les bras croisés alors que l'utilisation de fœtus humains avortés dans la recherche médicale est peu à peu normalisée en tant qu’élément « malencontreux » de la médecine moderne. Il est temps que le clergé et les laïcs affrontent cette horreur avec audace et qu'ils défendent le droit à la vie des plus vulnérables avec « la plus grande détermination » (20). Il faut en finir avec ce fruit maléfique de l’avortement ! que leur utilisation n’est pas seulement morale, mais qu’elle constitue un véritable acte de charité envers son prochain (22), compte tenu de la gravité de la pandémie. Nous suggérons humblement que de telles déclarations, y compris certaines déclarations officielles émises par des évêques (23) et même par le Vatican (24), sont fondées sur une évaluation incomplète de la science de la vaccination et de l’immunologie, et nous supplions leurs auteurs de repenser leurs déclarations à la lumière des faits suivants :
Pris ensemble, tous ces facteurs indiquent que les déclarations qui justifient l’utilisation des vaccins candidats COVID souillés par l’avortement non seulement passent sous silence la gravité et l’immédiateté des crimes commis contre les enfants à naître, mais ignorent également les données scientifiques sur la maladie, et l’inadéquation des vaccins candidats actuels et leurs risques connus et inconnus.
Pour conclure notre réflexion, en tant que chrétiens nous sommes appelés à nous revêtir de l’esprit du Christ et d’unir nos cœurs au Sacré-Cœur de Jésus et au Cœur Immaculé de Marie. C’est pourquoi nous ne coopérerons plus avec cette immense secte infanticide. Nous ne pouvons plus offrir ce grain d’encens à Moloch. L’heure est venue pour nous d’imiter les premiers chrétiens dans leur disposition à donner leur vie pour la Vérité. Nous ne serons pas complices. L’heure est venue de se lever !
+ 8 mars, 2021
Fête de saint Jean de Dieu, saint patron des hôpitaux et des malades
Journée internationale de la Femme
SIGNATAIRES (86 femmes de 25 pays)
SIGNATAIRES DE RENOMMÉE INTERNATIONALE : (2)
Dr. Wanda Półtawska, médecin polonais, spécialiste en psychiatrie, victime d’expériences pseudo-médicales au camp de concentration nazi de Ravensbrück
Abby Johnson, militante anti-avortement américaine
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AUTRES SIGNATAIRES PAR RÉGION GEOGRAPHIQUE :
AFRIQUE (6)
Lésotho
Sr. Celestina Tiheli, directrice de Human Life International Lesotho
Kenya
Maximiliane Muninzwa, travailleuse pro-vie
Namibie
Marion Matheis, infirmière libérale, militante pro-vie
Tanzanie
Alice Kawonga Hagamu, Human Life International Tanzania
Zimbabwe
Monica Chihambakwe, Human Life International Zimbabwe
Veronica Chawasemerwa, Human Life International Zimbabwe
AMERIQUES (56)
Amérique centrale
Guatemala
Mercedes Wilson de Arzu, fondatrice et directrice de Familia de las Americas
Costa Rica
Clara Milena Perdomo, spécialiste en psycho-pédagogie, membre d’ Opciones Heroicas, moniteur en planification familiale naturelle pour la conférence des évêques du Costa Rica
Amérique du Nord
Mexique
Dr. Pilar Calva MD, specialiste en génétique clinique, professeur de bioéthique, conseiller de Derechos del Concebido
Arlene Gugino Gaytán, membre de Mision Guadalupana et du conseil diocésain de Merida pour les chapelles d’adoration perpétuelle
Laura Rebeca Lecuanda Gómez, directrice du Centro de Ayuda Para la Mujer en Ensenada, Baja California
Marcela Vaquera Guevara, présidente du Frente Nacional por la Familia en Baja California
Effy de Lille, licenciée en science de la famille, Centro cultural Mater Dei
María del Carmen Limón, coordinatrice, Asociación Mexicana para la Superación Integral de la Familia
Rubí Peniche de Mac Gregor, militante pro-vie, Chiapas
Brenda Lourdes Del Río Machín, militante pour les droits humains de la femme, directrice de Que viva Mexico
Patricia López Mancera, présidente de Centro de estudios y formación integral para la mujer et coordinatrice du Frente Nacional por la familia Quintana
Mercedes Pizzuto de Marván, historienne de l’art, master en conseil familial, présidente de Por la Vida y la Familia a Querétaro
Marta Eugenia Menéndez Losa, membre de 40 dias por la Vida
Gladys Noemí Alayola Montañez, femme consacrée à l’Instituto para la Liberación y Crecimiento Espiritual de las Almas
Gabriela Tejeda Morales, conseillère familiale, directrice de Vida y familia
Rossana Villares Moreno, Movimiento Frena
Silvia Rovelo Nájera, Grupo Apostolico Betel
Luz Marie Orcí, professeur d’université et fondatrice de l’Organización para la Restauración, Consolidación e Integración de la Familia
Lilia Pastrana, membre de 40 días Por la Vida
Patricia Pesqueira de Erosa, membre de Mision Guadalupana
Veronica Dorbecker Puerto, membre de Mision Guadalupana
Claudia Susana Nevárez Quintana, licenciée en relations industrielles, membre de Red de Apoyo a la Familia
Fernanda Patricia Teran Quintero, licenciée en Affaires internationales, coordinatrice d’action politique pour Coalicion de grupos a favor de la vida y la familia
Mireya del Carmen Rivera Ramirez, femme consacrée à Instituto para la Liberación y Crecimiento Espiritual de las Almas
Alma Elisa Saldaña Rivera, licenciée en droit, coordinatrice de Coalicion de grupos a favor de la vida y la familia
María de los Angeles Pavón Rodriguez, membere de l’Asociación Católica Internacional Consecratio Mundi
Susana Troyo Rodríguez, femme consacrée à Instituto para la Liberación y Crecimiento Espiritual de las Almas
Aida Rosa Cardin de Rosado, membre de Mision Guadalupana
Alejandra Yáñez Rubio, juriste à Conciencia y Derechos Humanos
Adriana Olguín Ruiz, membre de Familia Religiosa del Inmaculado Corazón y de la Divina Misericordia
Maria Luisa Rubio Barthell de Ayuso, membre de Mision Guadalupana
Carmen Moreno Sánchez, member de Mision Guadalupana
Ileana López Rscoffie, Mision Guadalupana
Suhad Serna Slim, Director, licenciée in education élémentaire, représentante d’Ola Celeste SalvemosLas2Vidas
Dr María de Lourdes Pérez Soto, médecin-anesthésieur
Antonieta López Valdés, licenciée en bioéthique
Cecilia Alvarez Vales, membre de Mision Guadalupana
Andrea Ana Paula del Villar, directrice et fondatrice de Fundación Tu Decide
Isabel Olguín Villar, membre des Brigadas Católicas
Haydee Namur Zurita, membre d’Asociación Católica Internacional Consecratio Mundi
Etats-Unis d’Amérique
Pamela Acker, Master ès sciences, auteur de “Vaccination: A Catholic Perspective” (2020)
Sr/Dr Deirdre M. Byrne, POSC, Little Workers of the Sacred Hearts, chirurgie générale
Dr. Grazie Christie, MD, radiologue, conseillère politique de The Catholic Association, animatrice de l’émission radio d’EWTN “Conversations with Consequences”
Dr. Angela Lanfranchi, MD, co-fondatrice du Breast Cancer Prevention Institute
Debi Vinnedge, fondatrice de Children of God for Life
Amérique du Sud
Argentine
Marcela Errecalde, porte-parole de Latinoamerica por las 2 Vidas, militante pro-vie
Yamila Alfonsina Ríos, obstetricienne
Brazil
Anna Carolina Papa Tavares de Oliveira, avocate pro-vie
Chirlei Matos Santos, infirmière
Christine Nogueira dos Reis Tonietto, élue au congrès, pro-vie
Ecuador
Sonia Maria Crespo, psychothérapeute familiale, directrice de Fundación Familia y Futuro
Amparito Medina Guerrero, coordinatrice de projets de développement social, militante des droits de l’homme, Red Vida y Familia
Ximena Izquierdo, directrice d’EWTN en Amérique latine
Paraguay
Hadhara Brunstein, médecin et endocrinologue, présidente de Médicos por la Vida Paraguay
Venezuela
Christine de Marcellus Vollmer, president de Provive, Alive to the World
ASIE (13)
Japon
Sakura Izumi, militante pro-vie
Shigeko Ooka, secretaire du mouvement pro-vie du Japon
Kazakhstan
Dina Khalelova, pédiatre et militante pro-vie, Kazakhstan
Asel Schultz, ministère de guérison post-avortement, bénévole à “Give Life”, Kazakhstan
Malaysie
Dorothy Kuek, Human Life Service Miri, Malaysia
Philippines
Dr. Ligaya Acosta, directrice régionale Asie et Océanie, Human Life International
Dr. Cynthia Domingo, Doctors for Life
Dr. Jacqueline King, Doctors for Life
Dr. Dolores Octavia No, ancienne présidente immédiate, Doctors for Life
Dr. Eleanor Palabyab, ancienne présidente, Doctors for Life
Taiwan
Sr. Fideles, directrice de Saint Gianna Beretta Molla Prolife Center
Meilin Liang, Saint Gianna Beretta Molla Prolife Center
Ruihua Wong, Saint Gianna Beretta Molla Prolife Center
EUROPE (11)
Autriche
Dr. Eva-Maria Hobiger, MD, radio-oncologue, Vienne
France
Karen Darantière, Catholic mother, cofondatrice de la Confraternité de Marie Coredemptrice
Jeanne Smits, Master en droit, journaliste and bloggueuse pro-vie
Allemagne
Hedwig v. Beverfoerde, porte-parole d’Aktionsbündnis für Ehe und Familie – DemoFürAlle
Dorothee Ehrhardt, membre du bureau d’Europäishce Ärzteaktion
Gabriele Kuby, sociologue and auteur de “The Global Sexual Revolution: Destruction of Freedom in the Name of Freedom” (2015)
Inge M. Thürkauf, actrice, journaliste and conférencière pro-famille
Pologne
Kaja Godek, fondatrice, Life and Family Foundation
Russie
Olga Kukhtenkova Ph.D., rédactrice en chef Russie d’IFamNews, militante des droits de la famille
Alexandra Mashkova, coordinatrice de campagne de l’ONG “For Family Rights”, foundatrice d’“Immune Response,” mouvement contre la vaccination forcée
Espagne
Dr. Isabel Bellostas Escudero, pédiatre, membre de Médicos por la verdad
NOTES
6. Ibid.
14. Stacy Trasancos, “How Aborted Children are Used in Medical Research in 2020”, National Catholic Register, 15 décembre 2020.
10 commentaires:
Que Dieu dans sa grande miséricorde console par Marie tout ses St innocents.
Merci pour ces rappels sur des vérités bien cachées !
C'est affreux que l'avortement.Comment signer les individus comme moi contre l'avortement?
Represento a Voz Pública A. C..
Promovemos el Derecho a una decisión bien informada a partir de verdades completas y no de verdades a medias.
Damos seguimiento a leyes, políticas públicas, programas de gobierno q afectan los derechos humanos. Llevamos más de20 años denunciando a la ideología o perspectiva de género.. Es nuestro Apostolado de la Opinión Pública.
Je cautionne tout à fait le contenu de cette publication que le SEIGNEUR vous bénisse afin qu'elle soit largement diffusée. Jean Marie Bergonnier
Je cautionne tout à fait cette publication. Que le Seigneur vous bénisse afin qu'elle soit largement diffusée. JMB
Remarquable! Merci. J'ai connu Mme Poltawska quand je travaillais à Rome.
Total soutien
Un Prêtre Dr en Médecine et Dr en Théologie
En totale communion avec vous !
Merci pour votre vigilance intelligente et courageuse !
Que nos yeus s ouvrent
Bonsoir, peut-on se joindre à ses femmes en signant aussi? Et comment? Merci.
Gaëlle Ecolan (Bretagne France)
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