08 mars, 2021

Une centaine de femmes – parmi lesquelles Wanda Półtawska, amie de Jean-Paul II – appellent au rejet des vaccins « souillés » par l’avortement

Un groupe international de près de cent femmes – médecins, religieuses consacrées et responsables et militantes pro-vie – ont lancé un appel aux chrétiens et à toutes les personnes de bonne volonté pour que l’on cesse de justifier moralement l’utilisation de vaccins « souillés par l’avortement », c’est-à-dire ayant recours pour leur développement, leur production ou leur contrôle à des lignées de cellules provenant de bébés avortés. La déclaration, que j’ai moi-même eu l’honneur de signer, souligne que le fait de ne pas s’opposer à cette pratique alimente et fait avancer la culture de la mort à travers le trafic et l’exploitation de bébés avortés à des fins d’expérimentation médicale.

Sa publication initiale en anglais a été faite par le vaticaniste Edward Pentin.

Parmi les signataires, originaires de 25 pays de par le monde, figure le docteur Wanda Półtawska (photo ci-dessus), médecin polonais centenaire, amie personnelle de feu le pape Jean-Paul II et victime d’expériences pseudo-médicales menées par le médecin personnel d’Adolf Hitler dans le camp de concentration nazi de Ravensbrück. Le Dr. Półtawska, également spécialiste en psychiatrie, aujourd’hui âgée de 100 ans, a consacré ces 70 dernières années à œuvrer pour la vie et pour la famille.

On notera aussi la présence, parmi les signataires, de trois anciens membres de l’Académie pontificale pour la vie : le Dr Pilar Calva (Mexique), Mercedes Wilson de Arzu (Guatemala) et Christine de Marcellus Vollmer (Venezuela). Ainsi que de l’Allemande Gabriele Kuby, amie de Benoît XVI.

Parmi les autres signataires figurent Abby Johnson, une militante américaine anti-avortement qui a travaillé comme directrice de clinique pour Planned Parenthood jusqu’en 2009, et dont les mémoires ont servi de scénario pour le film Unplanned de 2019 ; et sœur Deirdre Byrne, ancienne chirurgienne générale militaire et ancienne missionnaire qui a servi au Kenya, en Afghanistan, en Haïti, en Irak et au Soudan, et dont la prise de position en faveur des enfants à naître a attiré l’attention de la nation américaine en août 2020.

L’opposition aux vaccins développés ou produits au moyen de cellules fœtales obtenues lors d’avortements a déjà suscité la controverse en France et ailleurs, autour de la question de savoir si le recours aux vaccins constitue une coopération au mal, et à quel degré. Le pape et les instances vaticanes ont implicitement ou ouvertement rejeté cette opposition en allant jusqu’à dire que la réception du vaccin constitue un devoir de charité pour le catholique.

Le texte ci-dessous rejette cette approche en insistant sur le caractère barbare des avortements qui sont pratiqués, certes à la demande de la femme, mais organisés dans des conditions optimales pour augmenter les chances de réussite pour les chercheurs : avortements tardifs, prélèvement des organes sans anesthésie lorsqu’ils se font sur des tout-petits encore vivants…

En effet, les chercheurs ont besoin d’organes formés pour récolter des cellules vivantes capables de produire une lignée dite « immortelle » qui se prêtera le mieux à l’ingénierie génétique et à la reproduction autonome pendant de longues années (mais avec une limite dans le temps qui conduit à pratiquer de nouveaux avortements pour tenter d’aboutir à de nouvelles lignées exploitables). Ainsi les cellules HEK-293 aujourd’hui largement vendues et utilisées, ont-elles été obtenues au cours des années 1970 au terme de 293 expériences pratiquées sur des cellules prélevées sur des reins (kidneys en anglais) d’un nombre indéterminé d’« embryons humains » – ou plutôt des fœtus, vu le moment de la gestation.

A l’heure actuelle, le bénéfice attendu des agents biologiques Pfizer et Moderna, qui font tous les deux appel à ces lignées pour leurs tests, comme celui du vaccin à adénovirus AstraZeneca qui les utilise dans sa production, reste très modeste – même en admettant les statistiques d’efficacité présentées par leurs producteurs – eu égard au peu de létalité du COVID-19 parmi la population jeune et en en bonne santé, d’autant que rien ne permet aujourd’hui d’affirmer qu’ils protègent contre la contagion. Par ailleurs leurs effets indésirables immédiats, nettement plus fréquents que pour le vaccin anti-grippal, par exemple, ainsi que le nombre non négligeable de décès après vaccination et l’ignorance des effets à long terme d’une technique jamais utilisée à ce jour, constituent autant de circonstances dont il faut tenir compte dans le jugement moral que l’on porte sur ces vaccins « souillés par l’avortement ». Et quoi qu’il en soit de la réponse, il nous appartient de  contester de manière claire le recours de plus en plus fréquent dans le monde de la recherche médicale aux « matériaux » fournis par des fœtus délibérément avortés. Car d’autres solutions existent.

A titre personnel, tout cela m’est une raison suffisante pour avoir signé le texte que je vous présente ci-dessous. Puisse cette démarche entreprise par des femmes au nom de l’amour maternel aider à cette prise de conscience.
Sans quoi, la logique de l’exploitation des enfants avortés (comme on l’a vu avec l’affaire du Planning familial vendant ou fournissant des « produits d’avortement » pour la recherche dans des conditions abominables) ne fera que s’étendre.

Si demain, la recherche médicale devait présenter comme un remède miracle une substance tirée de lignées de cellules souches embryonnaires récoltées sur des embryons produits in vitro, puis détruits par et pour la recherche, devrions-nous l’accepter à son tour ? 

Ci-dessous, ma traduction intégrale de la déclaration. Toutes les notes, avec leurs liens, sont en fin de message. – J.S.

*

La voix des femmes pour la défense des enfants à naître
et en opposition aux vaccins souillés par l’avortement


L’avortement est le massacre des Saints Innocents des temps modernes. En tant que femmes, nous souhaitons que notre cri féminin soit entendu dans le monde entier. Cette déclaration vient du plus profond de nos cœurs maternels qui se consacrent à défendre la cause de la vie et à combattre la culture de la mort. Nous l’affirmons donc de tout cœur : « Nous ne serons pas complices du massacre des Saints Innocents des temps modernes et nous refusons donc d’accepter tout vaccin fabriqué en utilisant des cellules provenant de fœtus humains avortés. »


L’avortement : source du tissu fœtal

Regardons honnêtement la réalité de l’avortement. Environ une grossesse sur cinq dans le monde se termine par un avortement ; on estime que cela représente environ 40 à 50 millions d’avortements par an dans le monde (1). Depuis que l’industrie de l’avortement a commencé à fonctionner pour de bon, pas moins de 2,5 milliards de bébés à naître ont été assassinés dans le ventre de leur mère. Réfléchissons un instant à ce chiffre, et essayons de sonder cet abîme sans fond.

La cruauté exceptionnellement barbare du XXe siècle, avec ses deux guerres mondiales meurtrières et ses idéologies plus meurtrières encore, est sans commune mesure avec l’immense ampleur de ce massacre mondial des plus impuissants de tous les êtres humains. Comment ne pas garder ce fait fermement à l’esprit alors que nous réfléchissons à la moralité des vaccins fabriqués en utilisant des cellules provenant de fœtus humains avortés ?

Ce génocide des enfants à naître est impensable par son ampleur, mais il est tout aussi inadmissible par son odieuse brutalité : la manière dont ils sont assassinés est d’une barbarie qui dépasse l’entendement. Plaçons sous nos yeux quelques-unes des méthodes d’avortement chirurgical les plus utilisées (2). Imaginons un bébé garçon à neuf semaines après la conception : il peut faire des culbutes, froncer les sourcils et avaler. Pour avorter ce garçon à naître, un tube creux muni d’une lame acérée à son extrémité est inséré dans le ventre de sa mère et relié à un puissant aspirateur, qui le déchiquette en petits morceaux qui seront aspirés dans un flacon, puis jetés.

Imaginons maintenant une petite fille à naître, à la fin du troisième mois dans le ventre de sa mère : elle peut pleurer en silence, et elle le fait parfois, et elle peut ressentir la douleur. Pour avorter cette fillette, on insère une paire de pinces dans le ventre de sa mère pour saisir, briser et détacher ses os par torsion, jusqu’à ce que son corps soit totalement démembré, sa colonne vertébrale très probablement brisée et son crâne écrasé quand elle sera arrachée au corps de sa mère.

Enfin, imaginons un garçon à naître à 20 semaines : il peut reconnaître la voix de sa mère. Pour l’avorter, le médecin insère une longue aiguille dans l’abdomen de sa mère et lui injecte une forte solution saline, qu’il avale ; le poison corrosif le brûle à l’intérieur et à l’extérieur. En l’espace d’un jour, sa mère donnera effectivement naissance à son bébé mort ou mourant. Beaucoup de ces bébés naissent vivants, puis sont laissés seuls pour mourir. C’est une mort plus cruelle que celle des enfants sacrifiés dans la Géhenne, la vallée près de Jérusalem où les anciens Israélites sacrifiaient autrefois leurs propres enfants, les brûlant vivants entre les mains de l’idole cananéenne, Moloch. Les feux de l’infanticide les ont consumés plus rapidement que ne le sont les minuscules victimes d’aujourd’hui. Aujourd’hui, dans les mains de Moloch, il fait un froid glacial : le petit garçon frissonne avant de devenir silencieux et immobile, couché dans une mare de sang qui se refroidit rapidement. Autrefois emmailloté au chaud dans le ventre de sa mère, il gît maintenant sans vie dans une pièce stérile, nu de la tête aux pieds, sans personne pour le pleurer, sans que personne ne soit en deuil à cause de lui. (3)


Le « fruit » de la recherche sur le tissu fœtal

Comme si le nombre et la brutalité barbare de ces avortements ne suffisaient pas, on récolte aujourd’hui des parties de corps de bébés avortés (4) à des fins de recherche médicale dans une sorte d’histoire d’horreur de fœticide des temps modernes. Les avorteurs ont reconnu avoir modifié les procédures chirurgicales (5) afin de s’assurer que certaines parties du corps soient laissées intactes et utilisables par les chercheurs. Imaginez le même petit garçon, non pas brûlé par une solution saline, mais livré vivant à une horreur comparable au sacrifice humain des Aztèques, qui arrachaient les cœurs des vaincus alors qu’ils étaient étendus, haletants, sur les autels des sacrifices. Après avoir été mis au monde, peut-être par césarienne (6), le petit garçon ressent une douleur atroce lorsque l’avorteur lui prélève très rapidement un rein – sans anesthésie – pour que son organe puisse être expédié d’un jour sur l’autre afin de le garder bien frais pour le chercheur complice (7). Sachant cela, comment pouvons-nous volontairement tirer profit de leur sacrifice en usant d’un vaccin qui a utilisé le corps de ces bébés avortés à un moment quelconque du processus de production, peu importe depuis combien de temps ?

Pourtant, certains diront que ce mal est derrière nous, qu’il date de plusieurs décennies, alors que d'autres soutiennent que l'utilisation d'un vaccin souillé par l'avortement est moralement licite parce que la coopération au mal est « lointaine » (8).  Mais ces positions reflètent-elles la véritable ampleur et la gravité de la situation ? Le mal que représente l’utilisation de lignées cellulaires fœtales avortées ne se limite pas à l’assassinat initial : s’y ajoutent la commercialisation permanente du corps de l’enfant, ainsi que le refus ultime de donner une sépulture à ses restes profanés. En outre, l’utilisation de tissus fœtaux avortés dans le cadre du développement d’interventions médicales alimente très certainement, et alimentera toujours la recherche de nouveaux tissus fœtaux avortés (9). Les lignées de cellules fœtales ne durent en effet pas indéfiniment (10), et les fabricants de vaccins sont fortement poussés à créer de nouvelles lignées qui correspondent aux anciennes – en choisissant de mener des expériences avec des bébés avortés du même sexe et à peu près du même âge (11). Cela s’est produit à de multiples reprises au cours des dernières décennies, la lignée cellulaire fœtale avortée la plus récente ayant été mise au point en 2015 (12). En outre, en raison de l’absence notable de protestations à propos des lignées cellulaires, la recherche biomédicale sur les enfants avortés s’est élargie au cours des dernières décennies pour s’étendre à la collecte des corps de bébés à naître assassinés (13) pour les utiliser dans le cadre de recherches qui seraient normalement considérées comme non éthiques sur un être humain (14). Moloch n’est jamais rassasié.




Les vaccins COVID-19 et le tissu fœtal

Examinons maintenant le cas actuel des vaccins COVID-19, dont beaucoup utilisent des lignées cellulaires de fœtus avortés (21), soit directement au cours du processus de fabrication, soit indirectement par le biais de tests. Tous ces maux ne pourront qu’être perpétués et encouragés par l’acceptation passive, « à titre temporaire » d’un vaccin entaché sur le plan moral. Réfléchissons au fait que le vaccin ROR, développé en 1971 et commercialisé par Merck, a été présenté comme une obligation morale (15) en raison de son potentiel de réduction du syndrome de rubéole congénitale (ce à quoi il ne parvient pas (16)). Le ROR contient un composant rubéoleux contestable sur le plan moral dont l’obtention a nécessité près de 100 avortements distincts (17), et malgré les déclarations de nos prélats selon lesquelles les catholiques qui utilisent le vaccin doivent s’opposer à son utilisation par d’autres moyens (18), il est toujours utilisé cinquante ans plus tard. Ni les voix des bergers ni les fidèles n’ont étouffé l’approbation tacite manifestée par leurs actions. En effet, le consentement généralisé aux vaccins souillés par l’avortement, en particulier de la part des chrétiens, n’a fait que contribuer à la culture de la mort (19). Nous ne pouvons pas rester les bras croisés alors que l'utilisation de fœtus humains avortés dans la recherche médicale est peu à peu normalisée en tant qu’élément « malencontreux » de la médecine moderne. Il est temps que le clergé et les laïcs affrontent cette horreur avec audace et qu'ils défendent le droit à la vie des plus vulnérables avec « la plus grande détermination » (20).  Il faut en finir avec ce fruit maléfique de l’avortement ! que leur utilisation n’est pas seulement morale, mais qu’elle constitue un véritable acte de charité envers son prochain (22), compte tenu de la gravité de la pandémie. Nous suggérons humblement que de telles déclarations, y compris certaines déclarations officielles émises par des évêques (23) et même par le Vatican (24), sont fondées sur une évaluation incomplète de la science de la vaccination et de l’immunologie, et nous supplions leurs auteurs de repenser leurs déclarations à la lumière des faits suivants :

1. Les candidats vaccins dont on dit qu’ils utilisent des cellules fœtales avortées « uniquement pendant la phase des tests » ont utilisé les cellules HEK-293 [Human Embryonic Kidney-293, « rein d’embryon humain »] comme partie intégrante du développement (25) de leur candidat ARNm, et les ont utilisées à nouveau pour confirmer l’efficacité de l’ARNm, parfois par le biais de plusieurs types de tests (26) de confirmation.

2. Les vaccins candidats en question n’ont pas été rigoureusement testés quant à leur efficacité pour prévenir l’infection ou la propagation du SARS-CoV-2 (27), mais seulement pour la réduction de la gravité des symptômes chez les personnes qui développent des « cas confirmés » de COVID-19. Même cette évaluation d’un effet protecteur modeste a pu être considérablement exagérée (28).

3. Le taux moyen de survie à l’infection par le SARS-CoV-2 est supérieur à 98,3 % (29), et il est peu probable que des vaccins aussi peu efficaces aient un impact significatif sur ce taux.

4. Le vaccin présente 5 à 10 fois plus de risques de provoquer des réactions indésirables que les vaccins anti-grippaux et provoque 15 à 26 fois plus de maux de tête, de fatigue et d’étourdissements (selon les données du VAERS (30) [organisme américain qui enregistre les effets indésirables liés aux vaccins]). Le vaccin a également provoqué bien d’autres réactions graves et de nombreux décès (31). Les données de sécurité recueillies sont insuffisantes pour identifier les éventuels effets à long terme (32).

5. Du fait de la nature expérimentale du vaccin (33), inciter, contraindre ou obliger des personnes à le recevoir constitue une violation directe de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme (34).

Pris ensemble, tous ces facteurs indiquent que les déclarations qui justifient l’utilisation des vaccins candidats COVID souillés par l’avortement non seulement passent sous silence la gravité et l’immédiateté des crimes commis contre les enfants à naître, mais ignorent également les données scientifiques sur la maladie, et l’inadéquation des vaccins candidats actuels et leurs risques connus et inconnus.

Pour conclure notre réflexion, en tant que chrétiens nous sommes appelés à nous revêtir de l’esprit du Christ et d’unir nos cœurs au Sacré-Cœur de Jésus et au Cœur Immaculé de Marie. C’est pourquoi nous ne coopérerons plus avec cette immense secte infanticide. Nous ne pouvons plus offrir ce grain d’encens à Moloch. L’heure est venue pour nous d’imiter les premiers chrétiens dans leur disposition à donner leur vie pour la Vérité. Nous ne serons pas complices. L’heure est venue de se lever !

+ 8 mars, 2021

Fête de saint Jean de Dieu, saint patron des hôpitaux et des malades
Journée internationale de la Femme


SIGNATAIRES (86 femmes de 25 pays)


SIGNATAIRES DE RENOMMÉE INTERNATIONALE : (2)

Dr. Wanda Półtawska, médecin polonais, spécialiste en psychiatrie, victime d’expériences pseudo-médicales au camp de concentration nazi de Ravensbrück

Abby Johnson, militante anti-avortement américaine

***

AUTRES SIGNATAIRES PAR RÉGION GEOGRAPHIQUE :

AFRIQUE (6)

Lésotho
Sr. Celestina Tiheli, directrice de Human Life International Lesotho

Kenya
Maximiliane Muninzwa, travailleuse pro-vie

Namibie
Marion Matheis, infirmière libérale, militante pro-vie

Tanzanie
Alice Kawonga Hagamu, Human Life International Tanzania 

Zimbabwe
Monica Chihambakwe, Human Life International Zimbabwe

Veronica Chawasemerwa, Human Life International Zimbabwe


AMERIQUES (56)

Amérique centrale

Guatemala
Mercedes Wilson de Arzu, fondatrice et directrice de Familia de las Americas

Costa Rica
Clara Milena Perdomo, spécialiste en psycho-pédagogie, membre d’ Opciones Heroicas, moniteur en planification familiale naturelle pour la conférence des évêques du Costa Rica

Amérique du Nord

Mexique 
Dr. Pilar Calva MD, specialiste en génétique clinique, professeur de bioéthique, conseiller de Derechos del Concebido

Arlene Gugino Gaytán, membre de Mision Guadalupana et du conseil diocésain de Merida pour les chapelles d’adoration perpétuelle

Laura Rebeca Lecuanda Gómez, directrice du Centro de Ayuda Para la Mujer en Ensenada, Baja California 

Marcela Vaquera Guevara, présidente du Frente Nacional por la Familia en Baja California

Effy de Lille, licenciée en science de la famille, Centro cultural Mater Dei

María del Carmen Limón, coordinatrice, Asociación Mexicana para la Superación Integral de la Familia

Rubí Peniche de Mac Gregor, militante pro-vie, Chiapas 

Brenda Lourdes Del Río Machín, militante pour les droits humains de la femme, directrice de Que viva Mexico

Patricia López Mancera, présidente de Centro de estudios y formación integral para la mujer et coordinatrice du Frente Nacional por la familia Quintana

Mercedes Pizzuto de Marván, historienne de l’art, master en conseil familial, présidente de Por la Vida y la Familia a Querétaro

Marta Eugenia Menéndez Losa, membre de 40 dias por la Vida

Gladys Noemí Alayola Montañez, femme consacrée à l’Instituto para la Liberación y Crecimiento Espiritual de las Almas

Gabriela Tejeda Morales, conseillère familiale, directrice de Vida y familia

Rossana Villares Moreno, Movimiento Frena

Silvia Rovelo Nájera, Grupo Apostolico Betel 

Luz Marie Orcí, professeur d’université et fondatrice de l’Organización para la Restauración, Consolidación e Integración de la Familia 

Lilia Pastrana, membre de 40 días Por la Vida

Patricia Pesqueira de Erosa, membre de Mision Guadalupana

Veronica Dorbecker Puerto, membre de Mision Guadalupana

Claudia Susana Nevárez Quintana, licenciée en relations industrielles, membre de Red de Apoyo a la Familia

Fernanda Patricia Teran Quintero, licenciée en Affaires internationales, coordinatrice d’action politique pour Coalicion de grupos a favor de la vida y la familia 

Mireya del Carmen Rivera Ramirez, femme consacrée à Instituto para la Liberación y Crecimiento Espiritual de las Almas 

Alma Elisa Saldaña Rivera, licenciée en droit, coordinatrice de Coalicion de grupos a favor de la vida y la familia 

María de los Angeles Pavón Rodriguez, membere de l’Asociación Católica Internacional Consecratio Mundi

Susana Troyo Rodríguez, femme consacrée à Instituto para la Liberación y Crecimiento Espiritual de las Almas 

Aida Rosa Cardin de Rosado, membre de Mision Guadalupana

Alejandra Yáñez Rubio, juriste à Conciencia y Derechos Humanos

Adriana Olguín Ruiz, membre de Familia Religiosa del Inmaculado Corazón y de la Divina Misericordia

Maria Luisa Rubio Barthell de Ayuso, membre de Mision Guadalupana

Carmen Moreno Sánchez, member de Mision Guadalupana

Ileana López Rscoffie, Mision Guadalupana

Suhad Serna Slim, Director, licenciée in education élémentaire, représentante d’Ola Celeste SalvemosLas2Vidas

Dr María de Lourdes Pérez Soto, médecin-anesthésieur

Antonieta López Valdés, licenciée en bioéthique

Cecilia Alvarez Vales, membre de Mision Guadalupana

Andrea Ana Paula del Villar, directrice et fondatrice de Fundación Tu Decide

Isabel Olguín Villar, membre des Brigadas Católicas

Haydee Namur Zurita, membre d’Asociación Católica Internacional Consecratio Mundi

Etats-Unis d’Amérique

Pamela Acker, Master ès sciences, auteur de “Vaccination: A Catholic Perspective” (2020)

Sr/Dr Deirdre M. Byrne, POSC, Little Workers of the Sacred Hearts, chirurgie générale

Dr. Grazie Christie, MD, radiologue, conseillère politique de The Catholic Association, animatrice de l’émission radio d’EWTN “Conversations with Consequences”

Dr. Angela Lanfranchi, MD, co-fondatrice du Breast Cancer Prevention Institute

Debi Vinnedge, fondatrice de Children of God for Life

Amérique du Sud

Argentine
Marcela Errecalde, porte-parole de Latinoamerica por las 2 Vidas, militante pro-vie

Yamila Alfonsina Ríos, obstetricienne

Brazil
Anna Carolina Papa Tavares de Oliveira, avocate pro-vie

Chirlei Matos Santos, infirmière

Christine Nogueira dos Reis Tonietto, élue au congrès, pro-vie

Ecuador
Sonia Maria Crespo, psychothérapeute familiale, directrice de Fundación Familia y Futuro

Amparito Medina Guerrero, coordinatrice de projets de développement social, militante des droits de l’homme,  Red Vida y Familia

Ximena Izquierdo, directrice d’EWTN en Amérique latine

Paraguay
Hadhara Brunstein, médecin et endocrinologue, présidente de Médicos por la Vida Paraguay 


Venezuela
Christine de Marcellus Vollmer, president de Provive, Alive to the World


ASIE (13)

Japon
Sakura Izumi, militante pro-vie

Shigeko Ooka, secretaire du mouvement pro-vie du Japon

Kazakhstan
Dina Khalelova, pédiatre et militante pro-vie, Kazakhstan

Asel Schultz, ministère de guérison post-avortement, bénévole à “Give Life”, Kazakhstan

Malaysie
Dorothy Kuek, Human Life Service Miri, Malaysia

Philippines
Dr. Ligaya Acosta, directrice régionale Asie et Océanie, Human Life International

Dr. Cynthia Domingo, Doctors for Life 

Dr. Jacqueline King, Doctors for Life 

Dr. Dolores Octavia No, ancienne présidente immédiate, Doctors for Life 

Dr. Eleanor Palabyab, ancienne présidente, Doctors for Life

Taiwan
Sr. Fideles, directrice de Saint Gianna Beretta Molla Prolife Center 

Meilin Liang, Saint Gianna Beretta Molla Prolife Center 

Ruihua Wong, Saint Gianna Beretta Molla Prolife Center


EUROPE (11)

Autriche
Dr. Eva-Maria Hobiger, MD, radio-oncologue, Vienne

France
Karen Darantière, Catholic mother, cofondatrice de la Confraternité de Marie Coredemptrice

Jeanne Smits, Master en droit, journaliste and bloggueuse pro-vie

Allemagne
Hedwig v. Beverfoerde, porte-parole d’Aktionsbündnis für Ehe und Familie – DemoFürAlle

Dorothee Ehrhardt, membre du bureau d’Europäishce Ärzteaktion

Gabriele Kuby, sociologue and auteur de “The Global Sexual Revolution: Destruction of Freedom in the Name of Freedom” (2015)

Inge M. Thürkauf, actrice, journaliste and conférencière pro-famille

Pologne
Kaja Godek, fondatrice, Life and Family Foundation

Russie
Olga Kukhtenkova Ph.D., rédactrice en chef Russie d’IFamNews, militante des droits de la famille

Alexandra Mashkova, coordinatrice de campagne  de l’ONG “For Family Rights”, foundatrice d’“Immune Response,” mouvement contre la vaccination forcée

Espagne
Dr. Isabel Bellostas Escudero, pédiatre, membre de Médicos por la verdad


NOTES

1. Thomas D. Williams, PhD, “Global Abortions Surpass 1.1 Million in First Ten Days of New Year”, Breitbart, 10 janvier 2021.


3. Nos remerciements à Karen Darantière, “Devons-nous refuser les vaccins fabriqués à partir de cellules dérivées de fœtus humains avortés?”, Le Blog de Jeanne Smits, 26 janvier 2021.

4. Meredeth Wadman, “The Truth about Fetal Tissue Research”, Nature Magazine, 9 décembre 2015.

5. Debra Vinnedge, “Forsaking God for the Sake of Science”, Children of God for Life, 13 juin 2012.

6. Ibid.


8. Fraternité Saint Pie X, “Is it Morally Permissible to Receive the Covid-19 Vaccine?”, Society of Saint Pius X, 4 décembre, 2020.

9. Dr. Theresa Deisher, “Recently Aborted Baby DNA in Vaccines”, Sound Choice Pharmaceutical Institute, 1er novembre 2019.


11. Christine Beiswanger PhD, “A Brief History of IMR-90”, Coriell Institute for Medical Research, 2004

12. Carol Szczepaniak, “The Ethics of the Walvax-2 Cell Strain”, Nebraska Coalition for Ethical Research, 14 mars 2016.

13. “Coalition Fetal Tissue Research Letter”, Endocrine Society, 16 septembre 2019.

14. Stacy Trasancos, “How Aborted Children are Used in Medical Research in 2020”, National Catholic Register, 15 décembre 2020.

 
16. Catherine J.M. Diodati, “Immunization: history, ethics, law and health”, Integral Aspects, 1999.

17. Debra Vinnedge, “Vaccines from Abortion: Time to Report the Truth”, Children of God for Life, 20 mai 2019.

18.  “Instruction Dignitas Personae sur certaines questions bioéthiques”, Congrégation pour la Doctrine de la foi, 8 septembre 2008.

19. Jean-Paul II, “Encyclique Evangelium Vitae”, 25 mars 1995.


21. “Covid-19 Vaccines and Treatments in Development”, Children of God for Life, 12 janvier 2021.


23. Président du Committee on Doctrine and the Committee on Pro-Life Activities, “Moral Considerations Regarding the New Covid-19 Vaccines”, Conférence des évêques des Etats-Unis.

24. “Note on the morality of using some anti-Covid-19 vaccines”, Congrégation pour la Doctrine de la foi, 21 décembre 2020.

25. Daniel Wrapp, et al. “Cryo-EM structure of the 2019-nCoV spike in the prefusion conformation”, Science Magazine, 13 mars 2020.

26. “Guidance on Getting the COVID-19 Vaccine”, Children of God for Life.



29. John P. A. Ioannidis, “Infection fatality rate of COVID-19 inferred from seroprevalence data”, Bulletin of the World Health Organization, 14 octobre 2020. Article ID: BLT.20.265892.


31.  Amanda Woods, “23 die in Norway after receiving Pfizer Covid-19 vaccine: officials”, New York Post, 15 janvier 2021.

32. Entretien avec Bill Gates, “Vaccine Safety Compromise”, BBC Breakfast, 12 avril 2020




© leblogdejeannesmits pour la traduction.

• Voulez-vous être tenu au courant des informations originales paraissant sur ce blog ? Abonnez-vous gratuitement à la lettre d'informations. Vous recevrez au maximum un courriel par jour. S'abonner

• Voulez-vous soutenir matériellement ce blog ? C'est possible !

Ce blog est d'accès gratuit ; son objectif est de toucher le plus grand nombre de personnes possible. La très grande majorité des textes et traductions publiés ici le sont de manière non rémunérée. Pour pouvoir reprendre et maintenir le rythme des parutions – puisqu'écrire est mon métier, et que je fais ici un travail  de « bloggeur professionnel » – votre aide financière serait précieuse. D'avance grand merci à ceux d'entre vous qui verseront une libre participation via ce lien : paypal.me/SmitsJeanne.

Ou bien, virement sur
IBAN : FR78 3000 2089 0000 0058 5657 G83
BIC : CRLYFRPP  (Jeanne Figueras)


© leblogdejeannesmits

10 commentaires:

Unknown a dit…

Que Dieu dans sa grande miséricorde console par Marie tout ses St innocents.

Jérôme a dit…

Merci pour ces rappels sur des vérités bien cachées !

Marie-Claude Bourbeau a dit…

C'est affreux que l'avortement.Comment signer les individus comme moi contre l'avortement?

leticia glez luna a dit…

Represento a Voz Pública A. C..
Promovemos el Derecho a una decisión bien informada a partir de verdades completas y no de verdades a medias.
Damos seguimiento a leyes, políticas públicas, programas de gobierno q afectan los derechos humanos. Llevamos más de20 años denunciando a la ideología o perspectiva de género.. Es nuestro Apostolado de la Opinión Pública.

Unknown a dit…

Je cautionne tout à fait le contenu de cette publication que le SEIGNEUR vous bénisse afin qu'elle soit largement diffusée. Jean Marie Bergonnier

Unknown a dit…

Je cautionne tout à fait cette publication. Que le Seigneur vous bénisse afin qu'elle soit largement diffusée. JMB

Anonyme a dit…

Remarquable! Merci. J'ai connu Mme Poltawska quand je travaillais à Rome.
Total soutien
Un Prêtre Dr en Médecine et Dr en Théologie

Unknown a dit…

En totale communion avec vous !
Merci pour votre vigilance intelligente et courageuse !

Unknown a dit…

Que nos yeus s ouvrent

Gaëlle Bretagne France a dit…

Bonsoir, peut-on se joindre à ses femmes en signant aussi? Et comment? Merci.
Gaëlle Ecolan (Bretagne France)

 
[]