18 octobre, 2011

Une féministe péruvienne invente des morts pour cause d'avortement clandestin

Jennie Dador. Adepte des multiplications
Le Population Research Institute (PRI) vient de dénoncer le mensonge de l'ONG féministe « Manuela Ramos », dont la directrice Jennie Dador a affirmé que 59.200 femmes meurent chaque année au Pérou des suites d'avortements clandestins, alors que les pressions se font fortes sur le pays andin pour faire légaliser l'« IVG ». Elle s'exprimait aux côtés d'Amnesty International lors d'une manifestation le 28 septembre, « journée de la dépénalisation de l'avortement.

Plus exactement, elle a avancé le chiffre de « 370.000 avortements clandestins par an, dont 16 % se terminent par la mort de la mère », comme le rapporte la presse péruvienne. Pour un pays qui atteignait tout juste les 29 millions d'habitants en 2009, ces chiffres sont faramineux… et même, tout bonnement, incroyables.

16 % de 370.000, cela fait bien 59.200. « Mais les chiffres du Ministère de la santé sont différents à une échelle abyssale ; ils signalent que la mortalité maternelle est en baisse, on compte 103 décès pour chaque 100.000 naissances vivantes, c'est-à-dire pas plus de 496 morts par an. Les morts en relation avec un avortement (provoqué ou spontané) représente 6 % de ces morts, soit 30 par an. »

Selon le PRI, Jennie Dador s'est laissé emporter par la rhétorique des pro-avortement qui ont besoin de gonfler les statistiques à la fois des avortements clandestins et des morts maternelles qui leur sont liées pour promouvoir la légalisation de l'avortement, comme l'avait indiqué en son temps l'ex-avorteur et converti Bernard Nathanson.

« Si nous permettons que cette femme continue d'inventer des chiffres de manière irresponsable, la vie de beaucoup d'enfants sera en danger », signale le communiqué du PRI.

© leblogdejeannesmits.
Réseau Riposte catholique

1 commentaire:

Anonyme a dit…

CHESTERTON :L’Eglise Catholique est la seule chose qui sauve l’homme de l’esclavage dégradant d’etre un enfant de cet age »



AVORTEMENT : PAS DE LIMITES DANS L’HORREUR ………

J’apprends aujourd’hui ce qu’est l’avortement par naissance partielle .Cette horreur existe et il y avait des m édecins pour la pratiquer … Elle était légale aux U.S.A … Et en Europe qu’en est-il ?

Bonne nouvelle : Le Michigan vient de l’interdire :

« Le Parlement du Michigan interdit l’avortement par naissance partielle »


http://www.ndf.fr/vu-des-etats-unis/22-09-2011/le-parlement-du-michigan-interdit-lavortement-par-naissance-partielle

Ce qu’est l’avortement par naissance partielle VOIR



http://laissezlesvivre.free.fr/sosfm/avortement.htm

Avortement par naissance partielle
Cette technique d'avortement consiste en l'extraction "intacte" du corps du fœtus excepté sa tête, puis une en aspiration de son cerveau.
Ce type d'avortement demande trois jours d'intervention dont deux rien que pour la dilatation du col de l'utérus par le biais de cylindres qui vont augmenter progressivement le diamètre.
On peut aussi utiliser des laminaires.
Pendant l'avortement "proprement dit", l'orientation initiale du fœtus est identifiée par un appareil à ultra-sons.
Dès qu'une "extrémité" est repérée, l'avorteur insère un forceps dans l'utérus par le vagin et le col et agrippe une des jambes de l'enfant.
Après avoir retourné le bébé dans l'utérus de manière que ses pieds se présentent en premier (et donc son visage vers le bas), l'une de ses jambes est tirée vers l'extérieur. Ensuite, c'est au tour de l'autre jambe, le torse jusqu'au cou.
L'enfant présente sa mœlle épinière vers le haut et tout son petit corps se trouve hors de l'utérus sauf sa tête trop large pour passer le col de l'utérus.
À ce stade, le bébé est encore en vie mais plus pour très longtemps puisque l'avorteur passant sa main le long de la colonne vertébrale de sa petite victime lui saisi le cou avec deux doigts (le majeur et l'index) pour le dégager.
L'avorteur s'empare alors d'une paire de ciseaux chirurgicaux pointus et, après avoir localisé la base du crâne de l'enfant l'enfonce de force.
Il écarte les lames des ciseaux pour élargir le trou ainsi créé, et après les avoir otés, insère un cathéter de succion qui aspire la cervelle.
Une fois le cerveau affaissé, la tête est devenue assez petite pour passer le col de l'utérus.
Enfin, le placenta est oté puis les parois utérine nettoyées.
Illustrations parues dans TransVie-Mag n° 99 de novembre 1996

 
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