La déclaration de 30 pages de la FDA, Summary Basis for Regulatory Action (Résumés des fondements pour l’action réglementaire) vise à expliquer les raisons de l’approbation du « vaccin » COVID-19 de Pfizer. Le rapport indique que 21 personnes du groupe ayant reçu le vaccin sont décédées entre novembre 2020 et mars 2021, mais la société pharmaceutique a déclaré au public en juillet que seules 15 personnes étaient décédées au cours de cette période d’essai.
Période pendant laquelle, faut-il le rappeler, des millions de personnes vulnérables ont été « vaccinées » à travers le monde, en pleins essais cliniques, à partir de début décembre 2020.
C’est un ancien journaliste du
New York Times, Alex Berenson,
qui l’a relevé : « Pfizer a déclaré publiquement en juillet avoir compté 15 décès parmi les bénéficiaires du vaccin à la mi-mars. Mais le laboratoire a dit à la FDA qu’il y en avait 21 – à la même date de clôture des données, le 13 mars. »
« La divergence pourrait-elle résulter de quelque décalage bizarre dans le traitement des données ? Peut-être, mais le rapport de la FDA contient également le nombre de cas de COVID que Pfizer a découvert chez les personnes vaccinées au cours de l’essai. Ces chiffres sont EXACTEMENT les mêmes que ceux communiqués au public par Pfizer en juillet. Pourtant, le nombre de décès n’était pas le même », a-t-il ajouté.
« D’une manière ou d’une autre, Pfizer a mal compté (ou fait une fausse déclaration publique, ou les deux) le nombre de décès dans l’un des essais cliniques les plus importants de l’histoire de la médecine. »
Qui plus est – jetant le doute sur la décision de la FDA affirmant la sécurité du « vaccin » –, avec 21 décès dans le groupe de 22.000 personnes qui ont reçu l’injection et seulement 17 décès dans le groupe placebo de 22.000 personnes qui ont reçu une injection saline bénigne, les nouvelles données montrent que ceux qui ont reçu le « vaccin » de Pfizer sont morts en plus grand nombre que ceux qui ne l’ont pas reçu. Les injections expérimentales ont malgré tout été approuvées pour un usage généralisé.
En raison de la divergence entre les données publiques de Pfizer et celles envoyées à la FDA, la cause du décès après l’injection n’est connue que pour 15 des 21 sujets décédés. Sur les 15 décès post-vaccinaux dont la cause est connue, 6 étaient liés à des événements cardiaques. Dans le groupe placebo non vacciné, seules deux personnes sont décédées des suites d’événements cardiaques. Il n’y a pas en l’état actuel moyen de savoir si les six décès non déclarés au public étaient eux aussi liés à des événements cardiaques.
« La FDA n’a pas donné d’autres détails au sujet de ces décès, se bornant à dire qu'“aucun n’était considéré comme étant lié à la vaccination”. Mais au vu des dizaines de milliers de décès post-vaccinaux désormais signalés tant aux États-Unis qu’en Europe – et des taux de décès globaux non liés à la vaccination qui dépassent désormais largement la normale dans de nombreux pays – il est grand temps d’aller voir de plus près des propos rassurants aussi vagues », ajoute Berenson.
Rappelons que les données de l’Organisation mondiale de la santé, de l’Union européenne et du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) américain font état de millions de dommages et de dizaines de milliers de décès consécutifs aux vaccins, soit plus que tous les autres vaccins réunis depuis 1990.
Entre-temps, la liste des événements indésirables reconnus par la FDA s’est allongée, passant de réactions anaphylactiques graves à des thromboses mortelles, aux myocardites inflammatoires du cœur (principalement chez les jeunes hommes) et à des maladies neurologiques invalidantes comme le syndrome de Guillain-Barré.
Pour ne rien arranger, des données officielles récentes provenant d’Angleterre et du Pays de Galles font état d’une augmentation considérable des décès non liés à COVID au cours de ces 18 derniers mois – 37 % ! –, dont une augmentation stupéfiante de 30 % des décès inexpliqués chez les garçons de 15 à 19 ans.
Toutes les injections COVID-19 actuellement autorisées aux Etats-Unis et dans l’UE sont expérimentales, les essais cliniques ne devant s’achever qu’à la fin 2022, voire en 2023 selon les marques.
Un groupe de médecins et d’universitaires a intenté une action en justice pour obtenir le tableau complet des données de la FDA sur le vaccin Pfizer, l’agence a rejeté la demande de transparence et a demandé à un juge de retarder la publication des données jusqu’en 2076, soit quelque 55 ans après que la FDA a donné le feu vert pour faire injecter les vaccins expérimentaux à des millions de personnes dans le pays. Cette opacité ne peut qu’engendrer le soupçon.
« On ne saurait imaginer plus impérieuse nécessité de transparence que celle relative à la divulgation immédiate des documents sur lesquels s’est appuyée la FDA pour autoriser un produit qui est aujourd’hui imposé à plus de 100 millions d’Américains sous peine de perdre leur carrière, leur revenu, leur statut de militaire, et bien pire encore », note l’avocat des plaignants, Aaron Siri, dans la plainte.
« La promesse de transparence de la FDA est, pour parler gentiment, un ramassis de faux-semblants », souligne Siri dans une déclaration sur Substack : « Pour qui le gouvernement travaille-t-il ? »
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