16 janvier, 2021

En Norvège, le nombre de morts chez les personnes âgées ayant reçu le vaccin Pfizer progresse et inquiète

Ce n’est pas une « fake news » d’un média dit « complotiste » que je vous livre ici, mais une information diffusée et suivie par Bloomberg, peu suspect d'opposition aux soi-disant « élites ». La Norvège, qui au moment de la rédaction de l’article du média avait piqué 33.000 personnes au moyen du « vaccin » mARN Pfizer, la majorité d’entre elles étant âgées, et les autres, des malades susceptibles de développer une forme grave de COVID-19.

Selon l’Agence des médicaments norvégienne on comptait déjà à ce moment-là 29 morts, qui ont frappé non seulement des personnes âgées de 80 ans et plus comme on l’avait noté dans un premier temps, mais aussi des personnes âgées. Etant donné que le « vaccin » Pfizer-BioNTech était le seul disponible dans le pays scandinave jusqu’à vendredi, l’Agence a précisé : « Toutes les morts sont ainsi liées à ce vaccin », dans une réponse écrite à une question posée par Bloomberg.

Cela fait tout de même une mortalité de 1 pour 1,000 !

Tous les décès répertoriés sont survenus chez des « personnes âgées avec des maladies graves au long cours », affirment les autorités norvégiennes, en précisant : « La plupart des personnes ont connu les effets secondaires attendus du vaccin, comme la nausée, des vomissements, de la fièvre, des réactions localisées sur le site de l’injection, ainsi qu’une aggravation de leur maladie sous-jacente »

On sait que la moyenne d’âge des personnes qui ont participé aux tests des « vaccins » mARN produits par Pfizer et Moderna tournait autour de 50 ans, même s’il y a eu nombre de cobayes de 80 ou 90 ans.

L’inquiétude est telle en Norvège que l’Institut de la santé publique du pays se demande désormais s’il faut poursuivre la campagne auprès des personnes les plus fragiles.

Ledit Institut estime ainsi : « Pour ceux dont la fragilité est la plus grande, même des effets secondaires relativement légers d’un vaccin peuvent avoir des conséquences graves. Pour ceux qui de toute façon ont une très courte espérance de vie, le bénéfice du vaccin pourrait bien être marginal ou insignifiant. »

Contacté par Bloomberg, Pfizer a fait savoir que les décès sont en cours d’investigation mais que « le nombre d'incidents à ce jour n’est pas alarmant, et conforme aux attentes ». Ah, bon ?

L’Agence des médicaments a souligné de son côté que lorsqu’on vaccine des personnes très âgées, celles-ci risquent de toute façon de mourir peu après d’une autre cause. Mais elle a souligné explicitement que les effets secondaires en soi bénins peuvent contribuer à aggraver une maladie existante ou à une issue fatale.

On va en arriver à ce magnifique paradoxe : les vaccins, censés protéger les plus vulnérables qui ont le plus de risque de mourir du COVID-19, pourraient bien faire courir à ces personnes un risque tel qu’on ne les vaccinera plus, ce qui aboutira à réserver les vaccins au personnes plus jeunes et en bonne santé, qui de toute façon n’ont guère de risque de mourir du COVID.

« C’est pour protéger les vieillards et les malades », diront les conformistes du vaccin anti-COVID. Eh bien, non, puisqu’on nous explique sur tous les tons que le vaccin ne protège pas de la contagion et qu’il est indispensable de conserver les « gestes barrières »…

Ne pas oublier ce détail : si les effets du vaccins sont en effet tels et si rapides sur les vieillards, qu’en sera-t-il des problèmes à long terme sur la population en général d’une piqûre qui se révèle de moins en moins anodine ?

Alors, à quoi ça sert ?




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