Spectaculaire sur-morbidité chez les militaires américains depuis la mise en place de la vaccination obligatoire : le DOD nie, mais les questions demeurent
– Hypertension : augmentation de 2.181 % en 2021 par rapport à la moyenne au cours des cinq années précédentes, soit 21,8 fois plus de cas en 2021.– Maladies du système nerveux : augmentation de 1.048 % (près de 10,5 fois plus).– Tumeurs malignes de l’œsophage : augmentation de 894 % (près de 9 fois plus).– Sclérose en plaques : augmentation de 680 %.– Tumeurs malignes des organes digestifs : augmentation de 624 %.– Syndrome de Guillain-Barré : augmentation de 551 %.– Cancer du sein : augmentation de 487 %.– Démyélinisation : augmentation de 487 %.– Tumeurs malignes de la thyroïde et d'autres glandes endocrines : augmentation de 474 %.– Infertilité féminine : augmentation de 472 %.– Embolie pulmonaire : augmentation de 468 %.– Migraines : augmentation de 452 %.– Dysfonctionnement ovarien : augmentation de 437 %.– Cancer des testicules : augmentation de 369 %.– Tachycardie : augmentation de 302 %.
– Dyspnée : 4.968 cas par an en moyenne entre 2016 et 2020.44.990 cas de janvier à novembre 2021, soit plus de 9 fois plus, qui plus est sur onze mois seulement, les chiffres de décembre n’étant pas encore reportés.– Infarctus aigu du myocarde : 612 par an en moyenne entre 2016 et 2020, 1.650 de janvier à novembre 2021, soit 269 % d’augmentation.– Péricardite aiguë : 589 par an en moyenne entre 2016 et 2020 ; 1.029 en 2021, soit 175 % d’augmentation, 1,75 fois plus.– Myocardite aiguë : 127 par an en moyenne ; 363 en 2021, soit 285 % d’augmentation.– Embolie pulmonaire : 747 par an en moyenne ; 3.489 en 2021 (467 % d’augmentation)– AVC : 873 par an en moyenne ; 3.438 en 2021 (393 % d’augmentation).– Paralysie faciale : 460 par an en moyenne ; 1.470 en 2021 (3,19 fois plus).– Coagulation intravasculaire disséminée : 7,4 par an en moyenne ; 87 en 2021 (près de 12 fois plus).– Syndrome de Guillain-Barré : 1.454 par an en moyenne ; 3.635 en 2021 (250 % d’augmentation).– HIV : 454 par an en moyenne ; 2.681 en 2021 (590 % d’augmentation).– Immunodéficiences : 1.152 par an en moyenne, 3.172 en 2021, soit 2,75 fois plus.– Purpura thrombopénique immunologique : 175 par an en moyenne ; 564 en 2021 (+ 322 %).– Irrégularité menstruelle : 4.810 par an en moyenne ; 22.938 en 2021(+ 476 %).– Sclérose en plaques : 707 par an en moyenne ; 3.444 en 2021 (4,87 fois plus).– Néoplasmes : 38.678 par an en moyenne ; 114.645 en 2021 (près de 3 fois plus).– Hémorragie méningée et hémorragie intracérébrale non traumatiques : 595 par an en moyenne, 1.858 en 2021 (plus de 3 fois plus).– Avortement spontané (fausse-couche) : 1.500 par an en moyenne, 4.602 en 2021 (plus de 3 fois plus).– Thrombocytopénie : 663 par an en moyenne ; 1.611 en 2021 (+ 242 %).
« En réponse aux questions soulevées dans les médias la division a examiné les données dans le rapport DMED et a constaté que les données étaient incorrectes pour les années 2016-2020."« Les responsables ont comparé les chiffres de la DMED avec les données sources de la DMSS et ont constaté que le nombre total de diagnostics médicaux de ces années “ne représentait qu’une petite fraction des diagnostics médicaux réels”. Les chiffres de 2021, cependant, étaient à jour, donnant l’“apparence d'une augmentation significative de l'occurrence de tous les diagnostics médicaux en 2021 en raison des données sous-déclarées pour 2016-2020”, a déclaré Graves.« Le système DMED a été mis hors ligne pour “identifier et corriger la cause profonde de la corruption des données”, a déclaré M. Graves. »
« C’est une coïncidence que les années arbitrairement retenues par le lanceur d’alerte, de 2016 à 2020, se trouvent être exactement les années où des informations auraient été incorrectement saisies dans le système. Il est également surprenant que les pathologies que de nombreux médecins s'attendaient à voir augmenter aient en effet augmenté dans la base de données, alors que les pathologies qu’ils ne s’attendaient pas à voir affectées, sont restées relativement stables. Je suppose qu'ils ont simplement introduit de manière incorrecte les troubles suspectés avant même que l’on ne connaisse l’existence du COVID, tout en conservant sans les changer les données des troubles qui n’étaient pas affectés par le covid alors inexistant ! »
« Lors de la table ronde, Renz a révélé les noms des courageux dénonciateurs qui ont découvert ces informations dans DMED : les docteurs Samuel Sigoloff, Peter Chambers et Theresa Long. Toute mesure de représailles prise à l'encontre de ces personnes ne sera pas tolérée et fera l'objet d'une enquête immédiate. Afin de mieux comprendre ce que le DoD sait, le cas échéant, des dommages causés par le vaccin COVID-19 aux militaires, je vous demande de fournir les informations suivantes :« 1. Le DoD est-il conscient de l'augmentation des diagnostics enregistrés de fausses couches, de cancer ou d'autres affections médicales dans la DMED en 2021 par rapport à une moyenne sur cinq ans de 2016 à 2020 ? Si oui, veuillez expliquer quelles actions le DoD a prises pour enquêter sur la cause profonde des augmentations de ces diagnostics.« 2. Les diagnostics de myocardite enregistrés dans DMED ont-ils été supprimés de la base de données de janvier 2021 à décembre 2021 ? Si oui, veuillez expliquer pourquoi et quand ces informations ont été supprimées et identifier qui les a supprimées.« Veuillez fournir ces informations dès que possible, et au plus tard le 15 février 2022. Nous vous remercions de l'attention que vous porterez à cette question. »
« Le DOD a affirmé que les données DMED des années 2016-2020 étaient incorrectes. C’est absurde. Nous dépensons des millions de dollars par an pour DMED et pour les personnes qui suivent les données DMED, l’une des premières bases de données épidémiologiques au monde. L’exactitude de cette base de données est d’une importance capitale car elle est utilisée pour surveiller les problèmes de santé de nos troupes.« Le DOD voudrait nous faire croire que la base de données DMED était erronée de 2016 à 2020, mais qu’elle a été corrigée comme par magie en 2021, alors qu’ils n'avaient pas remarqué qu’elle était erronée jusqu’à ce que nous signalions les chiffres lors de notre déposition devant le sénateur Johnson. De plus, on nous demande de croire qu’en 2020, l’année de ce qu’ils prétendent être celle de la plus grande pandémie depuis 1918, et malgré le fait qu’il est établi que le CDC surveillait également cette base de données, personne n’a remarqué une erreur de plus de 20 millions de codes de dommages/maladies par an. »
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