Argentine : encore un avortement approuvé par un juge – et la mobilisation catholique pour sauver l'enfant
Un nouveau cas de mineure violée et enceinte est venue devant les tribunaux argentins : cette fois, c'est dans le diocèse de San Carlos de Bariloche qu'une jeune fille de 17 ans a accusé son père et son oncle d'avoir abusé d'elle pendant six ans, et a réclamé un avortement dans le service gynécologique de l'hôpital de sa ville. Sa demande fut transmise à la direction générale des affaires juridiques du ministère de la Santé qui présenta l'affaire devant le tribunal. Celui-ci vient d'accomplir un pas supplémentaire par rapport aux décisions ordonnant récemment deux avortements sur mineures violées dans la province argentine de Chubut : cette fois ci, un juge, Martin Lozada, a décidé que la jeune fille n'avait besoin d'aucune autorisation pour avorter légalement puisque cela est permis de manière dérogatoire par le code pénal argentin en cas de viol.
« Ce n'est pas le juge qui habilite ou autorise l'interruption, mais la norme légale elle-même », a-t-il expliqué. Mais dans la mesure où cet avis repose sur une interprétation large de la loi, Martin Lozada a quand même pris la peine – pour éviter tout doute ou demeure – de dire qu'il se prononçait fermement pour l'avortement.
« L'avortement constitue un délit », a-t-il précisé, mais dans certains cas il est possible de « supprimer » la vie de la personne à naître « sans qu'une telle conduite soit punissable ». L'autorité sanitaire a « indûment judiciarisé une intervention qui devait rester dans sa sphère de compétence », ajoutait le juge, l'invitant « à l'avenir à assumer les obligations légales relatives à des questions aussi délicates ».
Oui : ici, l'obligation légale devient donc un devoir d'accéder à une demande d'avortement clairement formulée…
Un appel a été formé contre la décision par le défenseur des mineurs, Mme Paula Bisogna, qui représentait l'enfant à naître et qui réclamait la nomination d'un tuteur chargé de veiller aux intérêts du fœtus. Elle a également demandé que le juge Lozado soit récusé au profit d'un juge des Affaires familiales puisqu'il est en même temps chargé de juger les faits de viol subis par la mineure.
L'évêque de Bariloche, Mgr Fernando Maletti, a proposé d'aider la jeune fille et d'accueillir son enfant dans un foyer prêt à l'adopter : elle s'y oppose avec sa famille.
© leblogdejeannesmits.
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Lundi de Pâques 2010
DECLARATION DE GUERRE
Politiciens, politiciennes,
Nous, indignes porte-paroles des bébés assassinés dans le ventre de leurs mamans, nous accusons vos mensonges et vos actes contre la vie perpétrés depuis 1975 :
- 7 millions d’êtres humains que vous avez permis d’être massacrés avant la naissance !
- 7 millions de bébés dont le sang innocent macule pour toujours vos mains !
- 7 millions de bébés auxquels vous avez barré la route vers la Vie, à voir leur maman et leur papa, à admirer le soleil et les fleurs, à découvrir le sourire humain… !
- 7 millions de bébés qui créent aujourd’hui un trou béant dans la société !
- 7 millions de vies que vous avez arrachées dès le tendre départ des mains du Créateur !
- 7 millions qui vous procureront, selon les Paroles divines, la condamnation éternelle.
Sachez que désormais une voix se lèvera dans l’arène politique pour accuser de ce génocide non pas les femmes meurtries, mais vous les meurtriers barricadés derrière vos lois. Cette voix est A.M.E.N. (Arrêtons le Massacre des Enfants à Naître). TUEZ NOUS, PAS LES BEBES !
Aux élections régionales de mars 2010 nous avons obtenu en Ile-de-France, par LA LISTE CHRETIENNE présentée avec nos alliés pro-vie, 0,85% des voix qui s’ajoutent aux 7 millions de bébés morts. A chaque élection ce pourcentage augmentera. Notre réservoir de voix est énorme : 70 % des Français sont baptisés au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, Dieu de Vie et d’Amour. Mais vous, par vos lois, vous n’avez créé que Mort et Désespoir.
Nous n’arrêterons pas de nous battre pour les bébés jusqu’à l’abolition totale de la peine de mort pratiquée sur eux, et l’introduction de la peine de mort pour tous ceux qui font partie de la lâche bande des avorteurs, qu’ils soient présidents, ministres, députés, médecins, assistantes sociales, pharmaciens, concubins, mauvais parents, violeurs ou autres. Car rien n’est pire que de tuer – ou contraindre à tuer - un bébé, don suprême du Créateur, image vivante de Dieu sur terre. Avec la grâce de Dieu qui aime les tout petits nous obtiendrons cette abolition, de la façon la plus démocratique au monde, c’est-à-dire par une Assemblée Nationale convertie à la Vie.
Comptez vos jours politiques, complices de la mort, vous êtes finis, à moins que vous vous convertissiez de vos crimes contre la vie. « Le cri des innocents monte jusqu’au ciel » (Pie XI).
Signé : A.M.E.N. (Arrêtons le Massacre des Enfants à Naître)
En avant ! Courage, tenons bon, nous aurons la Victoire !
DIEU garde la place !
Maranatha !
Merci !
JFL
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