24 janvier, 2014

“Avortement : une épreuve vécue sans légèreté ni regret”

A la tribune du Monde, Géraldine Dalban-Moreynas, présidente d'une société de « relations-presse », raconte un banal avortement médicamenteux.

Histoire poignante, abominable, infiniment triste, qui dit tout des pressions subies par une jeune femme dont le compagnon ne veut pas garder le bébé dont il est pourtant le père.

C'est ici.

Mais oui, avorter n'est pas un acte banal.

Pourquoi ? Ce récit donne un début de réponse, mais pas toute la réponse.

Car il se termine avec l'assurance que la jeune femme – qui est aussi victime, on le ressent avec force – n'a pas de regrets.

On demande à voir.

Les statistiques des difficultés de couples à la suite d'un avortement, et particulièrement à la suite d'un avortement subi sous la pression du père, montrent que le tableau est loin d'être aussi rose.

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© leblogdejeannesmits



1 commentaire:

Anonyme a dit…

Cet article du Monde empeste le féminisme et est très pernicieux car il semble vouloir généraliser la lâcheté de l'homme et sa responsabilité dans la prise de décision ainsi que la victimisation de la femme qui doit souffrir toute seule. C'est vrai que les hommes ont une responsabilité majeure qu'ils doivent assumer mais le combat féministe, paradoxalement, entend les exclure du choix de la femme à disposer de son corps... enceint !
L'allusion à l'inconfort actuel de l'acte, qui n'a rien à voir avec l'inconfort d'une grossesse ou celui d'élever un enfant, appelle donc elle aussi pernicieusement à lever ce verrou. Mais quelle grossière manipulation verbale de la part du Monde... Bref, dans tous les cas, QUE CELUI OU CELLE QUI VEUT TUER SON ENFANT signe la demande d'avortement ! Ça c'est juste car chacun aura à répondre un jour de ses choix et de ses actes.

 
[]