23 juillet, 2011

“Gólgota picnic” : l’AGRIF engage les actions judiciaires nécessaires

Voici un communiqué de l'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne, repris ce 23 juillet par Présent.

“Gólgota picnic” arrive en France.

Dès le 16 janvier 2011, Jeanne Smits, vice-présidente de l’AGRIF, avait déjà évoqué sur son blog ce « spectacle » produit en Espagne, en annonçant que l’AGRIF serait vigilante et qu’elle réagirait le moment venu.

C’est chose faite puisque Gólgota picnic est désormais programmé à Toulouse au Théâtre de la Garonne du 16 au 20 novembre 2001 et à Paris au Théâtre du Rond-Point du 8 au 17 décembre 2011.

Ce « spectacle » représente tout ce que le racisme nihiliste en l’espèce anti-chrétien peut représenter. Le mieux est de donner la parole à Jeanne Smits :

« Sur l’air des Sept dernières paroles du Christ en Croix de Haydn (au piano, le chef d’orchestre et pianiste italien, Marino Formenti, joue sur scène – nu comme un ver), c’est une charge violente contre la Bible avec des mises en scène scandaleuses, de la Crucifixion, notamment. Une profanation qu’il vaut mieux ne pas détailler ici même si elle est, fondamentalement, minable.

« L’objectif de l’auteur hispano-argentin, Rodrigo Garcia, est tout ce qu’il y a de plus explicite. Par sa propre approche “absolument impudique”, il veut prouver que l’iconographie chrétienne est l’image de la “terreur et de la barbarie”, responsable de notre cruauté. Spécialement à travers les tableaux représentant la Crucifixion… “Je m’autorise même la licence poétique de dire qu’avec un tel passé iconographique ce qui est normal, c’est de violer des petits garçons.”

« Dans la mise en scène, rapportait en janvier Infocatolica, le “Crucifié” (une femme qui à l’occasion porte un casque de moto blanc avec le dessin d’une couronne d‘épines en noir) a une liasse de billets dans la plaie de son côté, Jésus est appelé “el puto diablo”, le tout servi par un “langage et des images obscènes et lascifs”. L’“œuvre” se joue sur une scène jonchée de hamburgers – allusion à la multiplication des pains, voyez comme c’est fortiche – où l’un des personnages broie de la viande en direct dans un hachoir de boucherie.

Golgota Picnic est une coproduction franco-espagnole à laquelle ont collaboré le Théâtre Garonne de Toulouse et le Festival d’automne de Paris. »

Pour ceux qui auraient du mal à croire à tout cela, des extraits vidéos sont disponibles ici.

L’AGRIF a décidé d’agir conjointement à Toulouse et à Paris. Pour cela, elle a chargé Maître Pierre-Marie Bonneau, du Barreau de Toulouse, et Maître Jérôme Triomphe, du Barreau de Paris, d’engager des actions concertées dès la rentrée.

L'Institut Civitas engage pour sa part une campagne de pression publique.

Le spectacle est également programmé d'ici à l'automne en Autriche (à Graz) et aux Pays-Bas (à Rotterdam)…

© leblogdejeannesmits.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Deux courriers sont d'ors et déjà partis vers Mgr BROUWET (Nanterre) et Mgr Vingt Trois afin qu'une position clair et précise soit prise par les plus hautes autorités de l'Eglise de France. Nous avons également prévenue la Présidence de Notre Dame de Chrétienté en mobilisation. 10000 pèlerins cela peut peser lourd dans la balance, si chacun envoi un recommande aux autorités civils. De plus nous communiquons l'info à tous les chapitres du pèlerinage.
Assurément il ne faut pas laisser faire ces blasphèmes, quitte à acheter des billets et empêcher le déroulement de la pièce par la récitation de chapelets au sein même du temple du blasphème, si nous ne pouvons faire déprogrammer cette honte.
@jean-vincent

 
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