14 juillet, 2010

Avorter d'un enfant hydrocéphale ? Jamais !

Hymne à la vie... C'est l'histoire d'un jeune couple qui n'arrivait pas à avoir d'enfants. Puis vint une première grossesse – et une première fausse couche. Et encore une grossesse. Et une deuxième fausse couche, un deuxième enfant mort-né, une peur viscérale à l'idée de porter une nouvelle fois la vie et de ne donner que la mort.

Pourtant, après une nouvelle longue attente, espérant malgré tout, le couple eut le bonheur cette fois inquiet d'apprendre qu'une nouvelle grossesse était en cours. Ce n'est qu'à la 35e semaine qu'une échographie allait révéler l'état du bébé : il était hydrocéphale. Il ne pouvait guère espérer survivre en dehors du sein maternel. Il fallait le « terminer » (comme disent les Anglosaxons), pratiquer un avortement pour éviter de compromettre la possibilité d'une grossesse ultérieure : c'est le conseil reçu du premier gynécologue. Un deuxième expliqua que, la taille de la tête de l'enfant empêchant une naissance normale, la meilleure solution serait de pratiquer une « décompression » sur son crâne, puis de l'extraire par voie basse.

Mais d'avorter, il n'était pas question pour la maman ! « Je n'allais pas mettre fin à la vie de mon bébé ! », dit-elle maintenant. Le personnel de l'hôpital accepta de pratiquer une césarienne ; l'enfant qui naquit était un garçon, il fut baptisé sur-le-champ sous le nom de Bryce Daniel, dans un silence angoissant. Car il ne pleurait ni ne respirait. Les médecins dirent au mari d'amener vite l'enfant auprès de sa maman, pour qu'elle puisse être avec lui pendant les dernières minutes de sa vie, celles où seul son cœur continuait de battre, mais de plus en plus faiblement. Bryce Daniel était violet.

« Seigneur, s'il vous plaît, donnez-moi davantage de temps avec mon bébé », pria alors sa maman. L'attente dura 13 longues minutes. Je vous laisse découvrir la suite dans cette vidéo produite par le groupe Wisconsin Right To Life dans le cadre d'une campagne de films pro-vie et pro-famille. Après l'histoire racontée par la maman, à partir du milieu du clip à peu près, vous découvrirez des images de Bryce Daniel.



Dieu a-t-Il pu, comme le pense la maman de Bryce Daniel, mettre à profit ces 13 minutes pour le guérir ?    Et le charmant petit garçon qu'il est devenu a maintenant deux jolies petites sœurs…

Parce que sa mère et son père ont eu le courage de ne pas écouter les mauvais conseils de médecins qui pensaient pouvoir conseiller la mise à mort d'un tout-petit pour préserver les chances des suivants…

Via LifeSite.

© leblogdejeannesmits.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Merci Jeanne pour avoir déniché cette extraordinaire vidéo. La fin m'a fait pleurer d'émotion !
Deo Gratias.
Cathelineau

Laorans a dit…

Etrange que vous ne traitiez pas le sujet sur la pédophilie?... Car cela vous concerne plus que toute autre religion...

 
[]