Les avancées de l’euthanasie au Canada
Un juge canadien, Danielle Côté, vient de dispenser de prison André Bergeron, coupable de tentative d’euthanasie sur sa femme. Il l’avait étouffée avec un sac plastique avant d’appeler les services de secours (elle devait survivre trois jours avant de mourir à l’hôpital), alors qu’elle souffrait d’une maladie dégénérative, l’ataxie de Friedrich. Condamné seulement à trois ans de suivi judiciaire, l’euthanasieur s’est vu dire par le juge qu’il avait agi par amour, et non par agressivité.
Si cela suffit pour disculper un assassinat ou une tentative d’assassinat, toutes les dérives sont possibles. Dérives dans lesquelles le Canada (en l’occurrence le Québec) s’est souvent montré pionnier. C’est pourquoi cette nouvelle avancée de la culture de mort n’est pas sans conséquence pour le Vieux Continent.
Vu sur lifesite.
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