tag:blogger.com,1999:blog-4575178452465439476.post1939097915702341161..comments2024-03-13T06:33:48.408+01:00Comments on Le blog de Jeanne Smits: Suicide assisté pour une aveugle : la dérive néerlandaiseJeanne Smitshttp://www.blogger.com/profile/05464664704395401704noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-4575178452465439476.post-4258851589993711982013-10-07T20:55:43.463+02:002013-10-07T20:55:43.463+02:00Je vous concède l'emploi non scientifique des ...Je vous concède l'emploi non scientifique des mots "cocktail lytique", qui pour un médecin a un sens bien précis. Mais pour un journaliste, il est bien permis de s'en tenir au sens commun des mots : cocktail lytique, mélange de produits servis dans un verre et à l'effet mortel définitif, si vous me permettez aussi la redondance.<br /><br />D'accord aussi pour dire que cette femme a manqué de quelque chose dans son entourage. Et que sa souffrance a certainement été abominable. Il n'empêche, la manière dont la chose est relatée dans la presse néerlandaise laisse cette désagréable impression que je n'ai pas voulu occulter.Jeanne Smitshttps://www.blogger.com/profile/05464664704395401704noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4575178452465439476.post-7546122441119468322013-10-07T20:42:55.197+02:002013-10-07T20:42:55.197+02:00Un cocktail lytique qui se boit?
D'autre part...Un cocktail lytique qui se boit?<br /><br />D'autre part, si l'acte est inexcusable, nier la gravité de la souffrance de cette personne - qui n'a malheureusement pas été aidée de la façon qui aurait convenu - me semble quelque peu exagéré... Peut-on vraiment parler de "questions d'apparence" quand il s'agit d'un élément aussi important dans le sentiment de sa propre dignité que la propreté matérielle, et d'une "incroyable dose d'amour propre" pour qualifier la détresse non irrémédiable mais bien naturelle de cette femme qui tente de repousser les signes d'une perte d'autonomie qu'elle perçoit comme une déchéance? Pourquoi blâmer cette pauvre femme, quand les vrais coupables sont, par omission, ceux qui ne lui ont pas porté secours - on a ici affaire, avant tout, à une personne désespérément seule, et peut-être un simple contact humain autre que celui de ces psychiatres et "médecins" aurait-il suffi à écarter ses pensées de mort - et, par action, ceux qui se sont empressés, au lieu de chercher une véritable solution, d'accéder à la demande irrationnelle de cette personne aussi aveuglée dans son intelligence par la souffrance psychologique qu'elle l'avait été dans son corps? <br />Quoi qu'il en soit, voilà une bien triste histoire. Anonymousnoreply@blogger.com