tag:blogger.com,1999:blog-4575178452465439476.post358402070056652824..comments2024-03-13T06:33:48.408+01:00Comments on Le blog de Jeanne Smits: Chili : une fillette de 13 ans utilisée pour promouvoir l’avortementJeanne Smitshttp://www.blogger.com/profile/05464664704395401704noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-4575178452465439476.post-78420944446965897272014-11-05T14:10:07.881+01:002014-11-05T14:10:07.881+01:00Avez-vous remarqué comme il est toujours « urgent ...Avez-vous remarqué comme il est toujours « urgent de légiférer » pour, au nom d’UN cas douloureux, ou d’un petit nombre de cas, réduire encore les droits à la vie ou les droits de la famille ?<br /><br />La situation de cette petite est bien triste : il y a peu de situations plus douloureuses pour une femme que de porter un enfant mort ou mourant et de devoir en accoucher sans, pour autant, attendre la joie de voir vivre son enfant.<br /><br />Quand cet enfant n’est pas désiré, parce qu’il est le produit d’un viol, la situation est douloureuse, mais d’une autre façon. À plus forte raison si la victime du viol est encore, elle-même, un enfant.<br /><br />Y a-t-il vraiment certitude que l’enfant ne peut pas vivre ? Ou au contraire, est-ce (cela arrive) la prolongation de la grossesse qui met sa vie en péril et, s’il ne s’agissait pas d’une enfant de 13 ans violée, ne procéderait-on pas à un accouchement de cet enfant qui a déjà 33 semaines et est donc, sauf pour cause de malformations ou de maladie, viable ?<br /><br />Il me semble que faire accoucher cette enfant dès maintenant, puisque le bébé a largement atteint le seuil de viabilité, ne serait pas une mauvaise solution. <br />Ou le bébé, en raison de ses malformations, ne peut pas vivre hors du corps de sa mère, et en pareil cas il mourra mais personne n’aura provoqué volontairement sa mort ? Ou il peut vivre, on le soigne, on opère sa malformation et quand il sera en état de sortir de l’hôpital, on le remet à sa mère si elle le souhaite, ou on le propose à l’adoption. Certes, on aura pris un peu plus de risques avec sa vie, compte tenu de sa malformation. Mais cela vaut mieux que de le tuer …<br /><br />Et ces dames qui veulent absolument qu’on légifère en urgence pour tuer légalement ce bébé et d’autres pourraient aller se rhabiller…<br />Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4575178452465439476.post-13267273187822586042014-11-05T14:08:16.747+01:002014-11-05T14:08:16.747+01:00Sur le blog de Jeanne Smits, à propos d’une loi pr...Sur le blog de Jeanne Smits, à propos d’une loi proposée au Chili, pour permettre l’avortement d’une petite fille de 13 ans enceinte d’un enfant qui pourrait n’être pas viable et qui est le produit d’un viol.<br />Avez-vous remarqué comme il est toujours « urgent de légiférer » pour, au nom d’UN cas douloureux, ou d’un petit nombre de cas, réduire encore les droits à la vie ou les droits de la famille ?<br /><br />La situation de cette petite est bien triste : il y a peu de situations plus douloureuses pour une femme que de porter un enfant mort ou mourant et de devoir en accoucher sans, pour autant, attendre la joie de voir vivre son enfant.<br /><br />Quand cet enfant n’est pas désiré, parce qu’il est le produit d’un viol, la situation est douloureuse, mais d’une autre façon. À plus forte raison si la victime du viol est encore, elle-même, un enfant.<br /><br />Y a-t-il vraiment certitude que l’enfant ne peut pas vivre ? Ou au contraire, est-ce (cela arrive) la prolongation de la grossesse qui met sa vie en péril et, s’il ne s’agissait pas d’une enfant de 13 ans violée, ne procéderait-on pas à un accouchement de cet enfant qui a déjà 33 semaines et est donc, sauf pour cause de malformations ou de maladie, viable ?<br /><br />Il me semble que faire accoucher cette enfant dès maintenant, puisque le bébé a largement atteint le seuil de viabilité, ne serait pas une mauvaise solution. Ou le bébé, en raison de ses malformations, ne peut pas vivre hors du corps de sa mère, et en pareil cas il mourra mais personne n’aura provoqué volontairement sa mort ? Ou il peut vivre, on le soigne, on opère sa malformation et quand il sera en état de sortir de l’hôpital, on le remet à sa mère si elle le souhaite, ou on le propose à l’adoption. Certes, on aura pris un peu plus de risques avec sa vie, compte tenu de sa malformation. Mais cela vaut mieux que de le tuer …<br /><br />Et ces dames qui veulent absolument qu’on légifère en urgence pour tuer légalement ce bébé et d’autres pourraient aller se rhabiller…<br />Anonymousnoreply@blogger.com