18 septembre, 2013

Rions un peu !

Cela se passe dans l'Orne, une « noce gay » comme l'appelle le Point, et ce n'est pas de tout repos. Car les deux « maris » se sont disputés alors que tous les invités ou presque étaient partis, au petit matin de dimanche. Une histoire de belle-mère, paraît-il. Bilan : la dernière invitée encore sur place se prend une série de gifles,  les deux « conjoints » en viennent aux coups. Le « mari 1 » s'effondre sous l'effet de deux coups de boule à la Zidane, le « mari 2 », voyant arriver la police prévenue par l'amie qui s'est échappée entretemps, ne se tient plus. Fenêtre claquée sur les doigts d'une policière, coups de boule contre le fourgon (c'est sa spécialité), puis de nouveau des coups contre un autre policier au commissariat.

Le jeune homme a été jugé en comparution immédiate lundi matin – où il déclare ne se souvenir de rien. De fait, il y a quarante cadavres au bilan : des bouteilles d'alcool qui jonchent le sol au domicile « conjugal ». « Si j'avais été à jeun, il n'y aurait rien eu », plaide-t-il. Il y en a d'autres qui essaient de mettre Paris en bouteille…

Le Point nous apprend encore que les deux jeunes hommes se sont rencontrés au centre psychothérapique de l'Orne, en avril dernier.

Le « mari 2 » est en prison, puisque en état de récidive pour violences et outrage il a été condamné à 2 ans dont 6 mois avec sursis. Le « mari 1 » est prêt à le « reprendre ».

Le plus difficile dans l'histoire est quand même de démêler les époux, conjoints, maris dans l'article du Point. On comprend que tout s'achève dans la confusion !

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